Adriana Karembeu dévoile enfin toute la vérité sur sa plastique
En la voyant sur les couvertures, sur les écrans de cinéma ou de télévision, les admirateurs d’Adriana Karembeu tombent sous son charme. Or, derrière son apparente confiance en elle, l’ancienne mannequin ne se laisse pas une seconde de répit.
Durant ses nuits sans sommeil, elle cogite sur son passé compliqué, le temps qui passe, mais surtout son avenir. En exclusivité, elle va dévoiler l’enfer de son décor.
L’enfance en dents de scie d’Adriana Karembeu
Avant de prendre le nom de famille de son ex-footballeur, la jeune Adriana s’appelait « Sklenaříková ». A la maison, l’ambiance n’est pas toujours au beau fixe. En effet, son père ingénieur est très exigeant avec ses deux filles, tout en ayant une préférence pour l’une des deux. Quant à sa mère, elle semble davantage préoccupée au sort de ses patients qu’aux besoins de ces deux princesses.
Dans sa biographie, Adriana Karembeu dévoile la sombre personnalité son géniteur. « J’étais (son) bouc émissaire, une espèce de sac dans lequel on tape quand on est de mauvaise humeur ou quand on a juste envie de torturer gratuitement un être humain ». D’ailleurs, aussi étrange que cela puisse paraître, au lieu de l’aider à affronter les épreuves de la vie, il adore la traiter de « monstre »
Moins dure à l’égard de sa mère, Adriana Karembeu déplore malgré tout qu’elle « travaillait beaucoup, car elle préparait sa spécialisation en médecine ». Au lieu de prendre la défense de sa fille, elle persiste et signe. « Elle pensait qu’il fallait être dur avec les enfants pour les éduquer.» Partagée entre la colère et la pitié, elle souligne sa faiblesse devant les nombreux épisodes tyranniques de son époux.
Une fois le bac en poche, Adriana Karembeu suit les traces de sa mère. Or, au milieu des années 90, elle arrête brutalement son curcus à la fac de Prague. Et pour cause, repérée par un dénicheur de talents, elle va s’inscrire à plusieurs concours de beauté.
Des débuts prometteurs
Très vite, Adriana Karembeu a des envies d’ailleurs. C’est pourquoi, elle décide de quitter ses proches et de s’installer à Paris. Hélas, une fois sur place, elle va déchanter. Incapable de prononcer un mot dans la langue de Molière, elle se prive de nourriture pendant plusieurs jours. Lors d’une séance photo à priori anodine en maillot de bain pour le catalogue des 3 Suisses, son quotidien va prendre un tournant. Émerveillée par la somme d’argent remportée, elle va s’accrocher à sa bonne étoile.
Dans le petit monde de la mode, Adriana Karembeu ne passe pas inaperçue. En effet, la longueur incroyable de ses jambes, son regard captivant et son sourire ravageur parviennent à inspirer de grands couturiers.
Au début du second millénaire, les contrats d’Adriana Karembeu se suivent et ne se ressemblent pas. Devenue l’égérie de cette marque de sous-vêtements, elle permet de leur faire décrocher un record. En un temps record, les ventes explosent et la jeune femme semble plus épanouie que jamais.
Au cinéma
Adriana Karembeu a un défaut. Elle s’ennuie rapidement. C’est pourquoi, lorsqu’elle a vent du projet du réalisateur Robert Altman, elle rejoint le tournage de Prêt-à-porter. Certes, elle y joue son propre rôle, mais pour la première fois, elle illumine les salles obscures.
Une décennie plus tard, Adriana Karembeu va donner la réplique au génialissime Gérard Jugnot. Du propre avis de ce dernier, elle est « une petite fille dans le corps d’une femme fatale.» Comme l’atteste la jaquette ci-dessus, ce film lui permet de découvrir l’ambiance des plateaux de cinéma. Malgré sa fausse force tranquille, elle est angoissée par l’une des séquences phares. « On avait aussi une scène d’amour ensemble. J’étais hyper stressée.» Qu’elle se rassure, on y a vu que du feu !
Début 2007, elle prend du galon. Cerise sur le gâteau, ce long-métrage porte son nom. De quoi la motiver à redoubler d’efforts pour charmer tous ses fans. Force est de constater que la magie va opérer dès sa sortie en salle.
L’année d’après, elle intègre le casting d’Astérix aux Jeux olympiques. Sur le tournage, elle partage l’affiche avec Sim, dont elle joue l’épouse. Sauf que malgré le fait qu’elle porte des ballerines, force est de constater que la différence de taille va jouer un mauvais tour au comédien mythique des années 70. Vu qu’il lui arrive à peine au niveau de sa poitrine, leurs collègues ont du mal à garder le sérieux.
Adriana Karembeu à la télévision
Adriana Karembeu est une star à l’étranger
On ne le sait pas toujours, mais Adriana Karembeu a animé pendant un an sa première émission en Italie. A l’époque, les curieux ne perdent pas une miette de Domenica In. Diffusé sur la RAI UNO, ce show de variétés est inscrit à jamais dans l’histoire du PAF Européen. Et pour cause, il dure six heures. Donc, tous ceux qui ont le bonheur d’en être le chef d’orchestre, ils estiment que c’est une expérience unique sn son genre.
En France
En 2011, elle inaugure la première saison de Danse avec les stars. Hélas, malgré les apparences, rien ne se déroule comme elle l’aurait anticipé. « J’ai failli mourir tellement c’était compliqué, parce que c’est dingue, je ne sais pas danser ! C’était un cauchemar. » Malgré le désagrément provoqué par les répétitions, elle parvient à se hisser à la quatrième place du classement. Elle n’a pas à rougir de ses prestations !
France 2
Un an plus tard, la direction de France Télévisions lui déroule le tapis. Afin de découvrir sa collaboration avec Michel Cymès, elle ne cache pas son enthousiasme. « Ah c’est cool, je le connais un peu de loin. C’est super !» Pour une fois, sa première intrusion va s’avérer exacte. Il « est extraordinaire. C’est un bonbon, vraiment, un cadeau. Il est incroyable, maintenant c’est un ami ET mon grand frère.» D’ailleurs, malgré l’arrêt du show, elle sait qu’elle peut compter sur lui. « Il est fidèle et serviable. Il est toujours là quand on a besoin.» Des souvenirs, elle en a à la pelle. C’est pourquoi, au lieu de les dévoiler, elle titille la curiosité des internautes. « Qu’est-ce qu’on s’est marrés et qu’est-ce qu’on a vécu. Ca va me manquer… Il va y avoir un avant et un après, c’est sûr.»
Quant au concerné, il a un peu d’avance sur sa collègue. Du reste, pendant plusieurs années, il officiait aux côtés de Marina Carrère d’Encausse. Aussi, Michel Cymès fait un constant sans appel. « Ce n’est pas évident de créer un tandem à la télé avec deux personnes qui ne se connaissent pas et avec lesquelles ça marche tout de suite ! En 3 minutes, nous nous sommes très bien entendus »
Sur M6
Qu’on se le dise, une fois lancée, difficile d’arrêter Adriana Karembeu. Via qu’elle n’a pas de close de confidentialité avec France Télévisions, elle décide de participer à une étape de Pékin Express. Épuisée, elle raconte que ce « défi » lui a causé du souci. Même s’il lui arrive de tirer la sonnette d’alarme auprès des Français pour des causes importantes, elle avoue qu’elle « déteste mendier et là (ou) faire du stop ».
Adriana Karembeu est une femme engagée
À partir des années 2000, elle devient le visage de la Croix-Rouge Française. Appel aux fonds, formation sur CD ou livre, message aux nouveaux adhérents, elle s’investit dans ce magnifique projet. Pour aider à remplir les caisses de l’association, elle dévoile son état d’esprit. « Donner de soi, c’est s’enrichir soi-même. Je suis admirative du courage de chacun des volontaires de l’association qui me donnent chaque jour envie de leur ressembler».
En 2004, Reporters sans frontières sollicite Adriana Karembeu pour une cause spéciale. Effondrée par le sort de ces neuf journalistes emprisonnés à Cuba, elle va prêter un soutien de tous les instants aux proches.
Au printemps 2010, après avoir longtemps connu les tribunes et l’ambiance des vestiaires des amis de son ex Christian, elle a un coup de foudre pour le football féminin. C’est pourquoi, au lieu de s’engager pour une équipe et de provoquer de la jalousie, elle coupe le ballon rond en deux et accepte ainsi d’en devenir l’ambassadrice !
Qui sont les hommes de sa vie ?
Un sombre épisode
Invitée sur le plateau de BFMTV pour faire la promotion de son autobiographie Libre, elle choisit d’évoquer publiquement son agression. Il y a deux décennies, on lui demande de rencontrer un cinéaste. Après avoir accueilli l’acolyte de Michel Cymès chez lui «avec un sourire», il change de sourire. Cette tentative de baiser est violent qu’elle ressemble à une décharge électrique. «Je sens sa salive sur mon visage et ma poitrine […] J’ai 35 ans, et j’ai puisé la force nécessaire pour repousser cet infâme prédateur et m’enfuir.»
Des années plus tard, leurs regards se croisent à nouveau au restaurant. « Il ose me saluer devant mon mari, avec son air lubrique, alors qu’il a tenté de me violer il y a si peu de temps. Je reste de marbre, même si au fond de moi, je hurle de toutes mes forces. »
Christian Karembeu, le premier mari d’Adriana Karembeu
Comme nous l’avons évoqué plusieurs fois, Adriana Karembeu a voyagé et vécu dans toute l’Europe. Aussi, elle est loin que se douter que ce vol au départ du Milan va changer sa existence. Assisse au côté du champion du monde de football Christian Karembeu, elle ignore alors tout son parcours. Deux ans plus, elle va avoir la chance inouïe de vivre en direct à la victoire des Bleus face au Brésil.
Cinq mois plus tard, trois jours avant Noël, les deux amoureux s’engagent pour la vie. Organisée en Corse, la cérémonie défraie la chronique. Et pour cause, sur l’île de Beauté, ils sont nombreux à avoir fait le déplacement pour découvrir la robe ou la bague de madame. Hélas, la sécurité ne laisse personne approcher, à l’exception de nos confrères de Paris-Match. Forcés de réagir, les tourtereaux vont daigner faire signe au public, et ce, quelques heures après la fin de leur union.
De son propre aveu, tout était magnifique au début. Hélas, à la fin de sa carrière, son cher et tendre Christian n’est plus le même. « Quand mon mari a arrêté de jouer, il s’est mis à vivre à 300 à l’heure, et je n’arrivais pas à suivre. Nous n’avions plus de vie de couple et avons évolué différemment et que nous n’avons plus les mêmes besoins. (…)» Malgré sa peine, elle prend la décision de le quitter afin de « ne pas tout gâcher, ne pas abîmer nos souvenirs »
André Ohanian
Lorsqu’elle se rend à ce rendez-vous dans cet hôtel marocain, Adriana Karembeu tombe de haut. Cet homme d’affaire l’ignore et a un humour douteux. « Il n’était pas ma tasse de thé. […] Quant au charme… il en semblait totalement dépourvu. » Or, plus elle échange avec lui, plus elle apprend à comprendre qui se cache derrière cet homme sensible.
Trois ans après le divorce avec Christian Karembeu, elle repasse devant monsieur le maire. Installée dans ce palace marrackchi que son époux dirige de main de maître, sa vie ressemble à un conte de fées. Si elle devait résumer sa personnalité, elle dirait. « André n’est pas du tout diplomate, mais il est courageux. Il exprime toujours ses opinions et j’adore ça.»
Très vite, Adriana Karembeu décide de guérir une bonne fois pour toutes les plaies de son enfance chaotique aux côtés de cet homme. C’est pourquoi, lorsqu’elle tombe enceinte à 46 ans, elle est à la croisée des chemins. Après des fausses couches, des FIV ratées, elle congèle ses ovocytes. De sa grossesse, elle ne conserve pas un bon souvenir. De plus, elle déplore ne pas avoir la chance d’offrir un frère / sœur à sa Nina. Qu’à cela ne tienne, elle profite de chaque seconde en sa compagnie.
Après avoir loué la détermination de son époux, Adriana Karembeu découvre une facette plus dure de son prince charmant. « Le Covid a changé beaucoup de choses dans mon couple. Mon mari l’a très mal vécu parce que toute notre activité, qui tournait autour du tourisme et de la restauration, s’est arrêtée. » Sur Instagram, elle adresse la rupture, mais laisse le plus beau des messages.
Marc Lavoine
Des étoiles dans les yeux, Adriana Karembeu donne le nom de son chanteur préféré. D’ailleurs, elle avoue à notre collègue de 50min inside, que même sans l’avoir rencontré, elle éprouve une attirance incontrôlable pour Marc Lavoine.
Et le message n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Quelques semaines plus tard, un paparazzi les photographie en plein échange amoureux. De quoi défrayer la chronique !
En septembre dernier, Marc Lavoine et Adriana Karembeu affolent leurs abonnés. Ce tendre échange devant les photographes et sur le tableau rouge est collector. Amusé, le chanteur se confie. « Ils nous ont demandé de nous embrasser dès la sortie du taxi. Alors on l’a fait, pour leur faire plaisir. Et puis, si c’était le dernier jour de ma vie, je serais heureux de l’avoir fait. »
L’heure du bilan a sonné
Dans son podcast, Maïtena Biraben récolte les confidences d’Adriana Karembeu. Au lieu de parler de sentiments, elle évoque le poids des années. « ça nous prend par surprise. Quand j’étais jeune je pensais toujours, que ça ne m’arriverait pas à moi…»
Malgré tout, plus apaisée qu’à une période, elle s’avoue chanceuse. « Je n’ai pas besoin de crier que je suis aussi autre chose que d’être jolie. C’est magnifique d’avoir une beauté physique, ça n’a jamais été un poids pour moi. N’importe quel compliment que je reçois, je le chéris, parce que c’est beau. »