« Un enfer » : Amélie Mauresmo victime de harcèlement moral, son épouse placée en garde à vue
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Alors qu’elles sont en instance de divorce, Amélie Mauresmo a porté plainte contre son ex-femme Marie-Bénédicte Hurel pour harcèlement moral. Voici ce que l’on sait.
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Dans les années 2000, Amélie Mauresmo a connu ses moments de gloire en enchaînant les victoires sur les courts de tennis. Grand Chelem, Open d’Australie ou encore Wimbledon… la star française a presque tout raflé. Après sa retraite sportive en 2009, l’ancienne joueuse professionnelle est devenue la présidente de Roland-Garros bien qu’elle n’ait jamais décroché la première place dans ce tournoi parisien.
Côté privé, la native de Saint-Germain-en-Laye partageait sa vie avec Marie-Bénédicte Hurel depuis 2014. En juillet 2021, les parents d’Aaron et Ayla ont d’ailleurs scellé leur union. Deux ans plus tard, l’ancienne N.1 mondiale de tennis (2004 et 2006) a cependant demandé le divorce. Depuis, la blonde de 44 ans a dénoncé des faits de harcèlement. L’affaire est désormais entre les mains de la justice.
Amélie Mauresmo reçoit 10 jours d’ITT
Comme le rapportent France Bleu et Le Parisien, l’ancienne tenniswoman et sa compagne étaient devant le tribunal de Bayonne le 23 janvier 2024. Maître Laurie Delpont, l’avocate de l’athlète, a demandé une audience à huis clos, car « les faits relèvent de la sphère privée ». Néanmoins, des informations ont été relayées depuis ce procès.
On apprend ainsi qu’Amélie Mauresmo a « vécu un enfer » depuis sa demande de divorce. Elle aurait été victime d’« humiliations, chantage, insultes, y compris par SMS », ce qui lui a valu 10 jours d’ITT (Incapacité totale de travail). Selon les informations relayées, Jean-Claude Belot, procureur de la République, a requis dix mois de prison avec sursis à l’encontre de Marie-Bénédicte Hurel.
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Marie-Bénédicte Hurel nie les faits reprochés
À titre d’information, l’ancienne compagne d’Amélie Mauresmo a été placée en garde à vue en septembre dernier. Interrogé par nos confrères de France Bleu sur cette affaire, Maître Thierry Sagardoytho, l’un des avocats de Marie-Bénédicte Hurel, a déclaré :
« Les SMS contestés ne relèvent pas du tout du harcèlement, mais de la simple discussion sur la gestion du quotidien »
Les avocats de la défense plaident ainsi la relaxe de leur cliente et dénoncent une « instrumentalisation d’une plainte artificielle dans la perspective du divorce ». Les deux parties connaîtront le verdict le 13 février 2024. Reste à découvrir si elles trouveront un accord à l’amiable entre-temps. Affaire à suivre !
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