Stéphane Bern : ses anecdotes coquines dans les châteaux
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Stéphane Bern s’est livré à quelques confidences très coquines sur sa vie privée. Et elles sont pour le moins croustillantes !
Stéphane Bern livre quelques anecdotes coquines
Alors qu’il faisait la promotion du tome 9 de sa série d’ouvrages, Stéphane Bern était, vendredi dernier, sur le plateau de « Je t’aime etc… » . Lors de l’émission le présentateur s’est livré sur quelques anecdotes croustillantes sur sa vie privée. « Est-ce qu’il y a des lieux qui ont une charge plus érotique que d’autres ? » . Ce à quoi Stéphane Bern a répondu : « les chambres en générale » .
Lors de l’émission de présentateur de « Secrets d’Histoire » revient sur ses différents ébats sexuels dans les châteaux où il séjourne parfois.
« C’est très gênant d’aller visiter des monuments dans la chambre parce qu’on se dit qu’il s’est passé des choses là. Il m’est arrivé de faire des choses bizarres dans des châteaux » . L’animateur de Secrets d’histoire a poursuivi en disant : « Dans des châteaux qui sont certes ouverts au public mais dont je connais les propriétaires et qui m’invitent à y passer la nuit. Le baldaquin a un effet… » .
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Le présentateur revient sur la décision de la duchesse Meghan Markle
Stéphane Bern est aussi revenu sur le départ d’Angleterre de la duchesse Meghan Markle. Le 8 janvier dernier, le prince Harry et son épouse ont annoncé leur volonté de prendre leurs distances sur les engagements royaux. Cette décision a profondément choqué les Anglais mais également le monde entier. Et cette décision n’a surtout pas du tout plu à la reine Elizabeth II qui a perçu cela comme une trahison…
Stéphane Bern, l’expert français des têtes couronnées, s’est exprimé à ce sujet dans une interview livrée à Madame Figaro.
« Elle ne supporte plus la pression médiatique. Quelqu’un aurait peut-être dû lui expliquer ce que c’était concrètement, d’épouser un prince d’Angleterre… » . Il poursuit en disant : « Ce qu’on me dit, c’est qu’elle sait y faire. À la fin du XIXe siècle, Henriette de Belgique, duchesse de Vendôme, livrait cette phrase qui peut faire sourire aujourd’hui : ‘Ces Américaines, ces fleurs empoisonnées de la royauté » . Le ton semble être lancé.
Le présentateur conclu par cette information : « Le prince Charles a récemment confirmé que les contribuables ne voulaient plus payer pour Meghan et Harry, et les membres royaux de second plan. Le fils aîné de la reine a déjà écarté ses deux frères (les princes Edward et Andrew, ndlr), et il semble logique qu’il s’occupe maintenant du cas Harry » . Nous verrons dans quelque temps comment pourront-ils subvenir à leurs besoins sans leur entourage royal ?
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