Sophie Marceau : ce chèque d’un million d’euros qu’elle a du signer…
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Comédienne de talent, Sophie Marceau s’est fait un nom très jeune dans le monde du cinéma. À 16 ans, alors qu’elle vient à peine de finir le tournage du film La Boum, elle s’est retrouvée face à un dilemme qui a changé sa vie. Et pour sa liberté, elle a dû signer un chèque d’un million d’euros…
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Sophie Marceau : un chèque d’un million pour sa liberté !
En 1980, Sophie Marceau se fait découvrir par le grand public grâce à son rôle dans La Boum. Un film à succès qui a propulsé la comédienne en haut de l’échelle. Mais à seulement 16 ans, tout se complique déjà pour Sophie Marceau, qui se trouve face à un cruel dilemme.
Alors qu’elle a signé un contrat d’exclusivité avec Gaumont, la comédienne a eu une proposition pour tourner dans un autre film. Mais Gaumont refuse de la laisser faire ce tournage. Pour retrouver sa liberté, Sophie Marceau a dû signer un chèque d’un million d’euros.
De l’argent, donc, pour sa liberté. « Comme j’avais signé mon contrat, ils me tenaient. Je leur ai demandé si c’était possible d’arranger quelque chose, mais ils n’ont pas voulu. Donc j’ai fait ce qu’il me semblait important pour moi » a-t-elle indiqué dans une interview pour Konbini.
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Une expérience enrichissante pour la comédienne !
Ce film, c’était pour Andrzej Zulawski, un réalisateur rencontré en 1981. Lors du festival de Cannes, cette année-là, la comédienne et le réalisateur parlent de différents projets. Elle a tourné dans quatre films d’Andrzej Zulawski, et les deux deviendront inséparables. En signant ce chèque, elle ne s’attendait pas à rencontrer l’amour dans les bras du réalisateur. Ils resteront ensemble pendant 17 ans et auront un enfant ensemble. En 2001, le couple se sépare
. Une période que la comédienne ne regrette pas. « J’y suis allé avec mon cœur. Je me suis dit : « Mais comment les gens peuvent-ils décider de ma vie, de ce que je dois faire ou ne pas faire ? […] Ca m’a appris à me défendre avec mes petits poings et dire ce que je veux et ce que je ne veux pas » explique-t-elle aux journalistes de Konbini.
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