Sébastien Cauet en larmes durant sa garde à vue ? Les coulisses dévoilées
Ce vendredi 24 mai 2024, Sébastien Cauet a été placé en garde à vue après sa mise en examen pour viols et agressions sexuelles sur quatre femmes, dont trois mineures.
Ce lundi 27 mai 2024, Cyril Hanouna et son équipe ont abordé le sujet sur le plateau de Touche pas à mon poste. Et Gilles Verdez en a profité pour dévoiler les coulisses de cette garde à vue qui a été, selon ses dires, particulièrement éprouvante pour l’ancien animateur de NRJ.
Sébastien Cauet entendu par la justice
Le vendredi 24 mai 2024, Sébastien Cauet a comparu devant un juge d’instruction au tribunal de Paris après avoir passé 48 heures en garde à vue. L’animateur radio a été mis en examen pour des faits de viols et d’agressions sexuelles.
Selon ses avocats, Me Xavier Autain et Me Simon Clémenceau, Cauet s’est rendu volontairement aux autorités le jeudi 23 mai 2024 pour répondre aux accusations portées contre lui. Dans un communiqué, ils ont précisé : « Comme il le demande depuis de nombreux mois, Sébastien Cauet est actuellement entendu par les enquêteurs pour les faits qu’on lui reproche dont la presse s’est fait l’écho et qu’il conteste ».
Cauet a été interrogé par la Brigade de protection des mineurs de Paris dans le cadre d’une enquête préliminaire. Il est accusé de deux viols sur mineures, d’un viol sur majeure, et d’agressions sexuelles sur mineures. Placé sous contrôle judiciaire strict, il lui est désormais interdit de reprendre son rôle d’animateur radio. Il doit également verser un cautionnement de 100.000 euros et suivre des soins obligatoires.
Il termine en larmes durant sa garde à vue
Le lundi 27 mai 2024, l’affaire a été évoquée dans l’émission Touche pas à mon poste. Cyril Hanouna a diffusé un enregistrement audio de Julie, l’une des victimes présumées de Cauet, qui a réagi avec émotion à sa mise en examen.
« C’est très dur psychologiquement », a-t-elle déclaré. « Pour moi, ça a été un réel soulagement de voir cette mise en examen. Ça prouve que je n’ai pas menti, ça prouve que les autres victimes n’ont pas menti non plus. C’est une première victoire, une première reconnaissance et la justice finira par redonner son verdict parce qu’il y aura encore une enquête mais ça veut dire qu’ils avaient assez d’éléments pour le juger ».
Et d’après Gilles Verdez, sa garde à vue aurait été particulièrement éprouvante et Cauet n’aurait cessé de nier les faits. « Comme il en a tout à fait le droit, il a choisi de garder le silence. Ça s’est mal passé avec les enquêteurs de la brigade des mineurs. Après les 24 premières heures, il a commencé à s’effondrer, à faiblir. Face au juge, il a pleuré et il était complètement effondré et abasourdi de l’ampleur qu’a pris l’affaire. Il ne s’y attendait pas du tout ».