Présidentielle : Magali Berdah, la future ministre des réseaux sociaux sous Emmanuel Macron ?
L’émergence des réseaux sociaux souligne un fléau importante en France et dans le monde entier : le cyberharcèlement. Si Magali Berdah a organisé des interviews avec certains candidats à la présidentielle, il se pourrait qu’elle devienne la ministre des réseaux sociaux si Emmanuel Macron est réélu. Une décision que le candidat aux multiples expressions pourrait bien prendre.
Magali Berdah sera-t-elle ministre des réseaux sociaux sous Emmanuel Macron ?
C’est ce dimanche que tout se joue pour Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Si les deux candidats sont opposés sur presque tous les sujets, il n’en demeure pas moins que les Français hésitent. Sur les réseaux sociaux, des hashtags #ToutSaufMacron et #ToutSaufLePen ont rapidement émergé après le premier tour. Et si les internautes ont été très critiques sur les réseaux sociaux pendant le débat d’entre-deux tours, il y en a une qui voudrait devenir ministre des réseaux sociaux. Il s’agit bien entendu de Magali Berdah. Lors d’une interview avec Emmanuel Macron, elle a posé la fameuse question : « Si vous êtes réélu, peut-on se rencontrer pour parler de la création d’un ministère des réseaux sociaux ? » . Le candidat favori selon les sondages a répondu favorablement à la proposition.
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Un ministère des réseaux sociaux… Mais pour faire quoi ?
Avoir un ministère des réseaux sociaux ? Utopie ou engagement réel dans la lutte contre le cyberharcèlement et les fraudes ? Alors que Delphine Wespiser prend une décision radicale après l’acharnement qu’elle a subi sur Twitter, peut-on même considérer que Magali Berdah est la mieux qualifier pour être ministre des réseaux sociaux ? Même si elle accompagne de nombreuses stars de télé-réalité sur Instagram, Twitter, TikTok ou encore YouTube, Magali Berdah n’a pas su mettre un terme aux nombreuses polémiques qui ont touché ses protéger. À noter que de nombreuses associations œuvrent déjà dans la lutte contre le cyberharcèlement. Une reconnaissance et une aide de l’Etat seraient déjà un grand pas pour la lutte.