Poupette Kenza de nouveau atomisée sur la Toile, elle s’effondre !
Le quotidien de Poupette Kenza est un cauchemar éveillé. En effet, les hater n’y vont pas avec le dos de la cuillère. On vous dit tout !
La double peine
Avec son un million et demi de followers sur Snapchat, Poupette Kenza a tout pour être épanouie. Heureuse en ménage, mère de deux merveilleux enfants, elle dévoile régulièrement les coulisses de sa vie. Et le moins que l’on puisse, c’est que ses admirateurs de la première heure ne perdent pas une miette de tous les rebondissements.
Entre deux repas et rendez-vous chez le comptable pour gérer sa carrière d’influenceuse, Poupette Kenza raconte aussi comment elle pratique sa foi. C’est l’évidence, avec elle, on ne s’ennuie jamais. Telle une grande sœur, elle distribue toujours des astuces efficaces contre les bobos du quotidien.
Lors de son accouchement, Poupette Kenza ne veut rien cacher à ses abonnés. C’est pourquoi, elle détaille les conséquences morales et physiques de son post-partum… Quitte à verser quelques larmes en se rappelant combien sa période a été compliquée à gérer.
"Aucune maltraitance envers mes bébés"
— TPMP (@TPMP) February 20, 2023
Les autorités ont-elles raison de s’en prendre aux mamans influenceuses ? Kenza Poupette est en direct dans #TPMP ! pic.twitter.com/CprfpE7mGQ
Mais ce n’est pas tout. En février dernier, la blessure de son bébé de quelques mois interpelle les autorités, mais aussi les internautes. Selon nos confrères d’Actu 76, le parquet de Rouen aurait ouvert une enquête pour « soustraction par le parent d’un enfant mineur sans motif légitime à ses obligations légales compromettant sa santé, sécurité, moralité ou son éducation. » Forcée de briser sur le silence, elle choisit le plateau de TPMP.
Et là, pour Kenza Poupette, c’est la goutte d’eau !
Récemment, Poupette Kenza tire la sonnette d’alarme. Généreuse, elle tente de récolter des fonds pour la construction d’un orphelinat au Maroc. Grâce à une cagnotte en ligne, l’influenceuse et sa cousine parviennent à convaincre plusieurs milliers de donateurs anonymes de se manifester. À ce jour, il y aurait un peu près 200.000 euros.
Sauf que le président de l’association responsable de ce projet jette un pavé dans la mare. Il n’aurait jamais perçu le moindre centime. De son côté, Poupette Kenza dénonce l’attitude de ce dernier. Sa structure serait « malhonnête et mal intentionnée« . Quant à l’argent, elle certifie l’avoir distribué à d’autres enfants dans le besoin.
S’adressant à son détracteur, Poupette Kenza balaie d’un revers de la main les plaintes et les critiques à son encore. Et pour cause, elle souligne la puissance de son réseau à l’étranger. « “Nous aussi on [fréquente] la famille royale au Maroc (…) nos parents sont très bien placés (…) on a beaucoup de connaissances”
Face à nos confrères du journal Le Parisien, Poupette Kenza tombe le masque. « Je me fais salir [et] humiliée pour des cliques (sic), je ne peux pas l’accepter”. Plus que jamais, elle certifie que sa cousine et elle ont l’esprit tranquille. « On n’a pas peur du tout, on est des victimes dans cette histoire, on n’a pas pris un euro, on n’est pas des voleuses » Dans cette pénible affaire, qui aura le dernier mot ? À l’heure où nous écrivons ces lignes, le mystère demeure entier. Promis, on vous tient très vite au courant !