Poupette Kenza en prison : nouvelle polémique pour l’influenceuse
Poupette Kenza est une nouvelle fois au coeur d’une polémique. Après avoir été incarcéré pour des soupçons d’enlèvement et de tentative d’extorsion, c’est son salon d’esthétique qui est aujourd’hui pointé du doigt.
En effet, selon les informations de Paris-Normandie, il aurait fait l’objet d’une fermeture administrative d’un mois pour travail dissimulé.
Poupette Kenza dans la tourmente
Le salon de bronzage O’Sun Time, créé par l’influenceuse Kenza Benchrif, plus connue sous le pseudonyme Poupette Kenza, et son mari Allan L., est au cœur d’une fermeture administrative temporaire d’un mois.
Situé au 15 place Joffre à Rouen, l’établissement a été contraint de cesser ses activités à compter du 13 septembre 2024, comme l’a confirmé la préfecture de la Seine-Maritime à 76actu, en réaction à une enquête relayée par Paris-Normandie.
Ce coup dur pour les propriétaires fait suite à plusieurs infractions à la législation du travail constatées lors d’un contrôle de l’Urssaf, mené le 29 septembre 2023.
Elle dort toujours en prison
Selon le rapport rendu le 8 décembre de la même année, les agents ont identifié plusieurs manquements, dont des cas de travail dissimulé concernant sept salariées. La préfecture a précisé que ces infractions relevaient de la « dissimulation d’emploi » et a évalué le montant du préjudice social à 45 548 euros, en termes de cotisations et contributions non versées.
Cette fermeture administrative n’est pas la seule difficulté à laquelle fait face Kenza Benchrif. En effet, l’influenceuse avait déjà été interpellée le 4 juillet 2024 dans l’agglomération rouennaise et placée en garde à vue, puis en détention provisoire, dans le cadre d’une affaire d’extorsion en bande organisée.
Cette succession de problèmes juridiques vient assombrir davantage l’image publique de la jeune femme, connue pour sa présence très active sur les réseaux sociaux, où elle partageait sa vie personnelle et professionnelle avec une large communauté de followers.