Pierre Palmade : le quotidien de l’humoriste en prison dévoilé par un surveillant
Depuis son incarcération en décembre 2024, Pierre Palmade mène une vie routinière derrière les barreaux. Entre sport et écriture, l’ancien comédien tente de survivre dans un isolement presque total.
Un jugement qui a tout changé
L’humoriste Pierre Palmade a vu sa vie basculer après un terrible drame. Impliqué dans un grave accident de la route sous l’emprise de stupéfiants, ce dernier a littéralement brisé une famille entière. Pour celui qui était autrefois adulé en tant qu’humoriste, l’opinion publique lui a désormais tourné le dos. Toutefois, Pierre Palmade subit désormais les conséquences de son acte. Il est actuellement incarcéré au centre pénitentiaire de Bordeaux-Gradignan, où il effectue sa peine.
Cependant, avant le verdict, Pierre Palmade avait exprimé de profonds remords et présenté ses excuses les plus sincères aux victimes : « Toute ma vie, je leur demanderai pardon. J’espère qu’un jour, ils l’accepteront. Un fou leur est rentré dedans. C’est de l’ordre de l’inexcusable. »
Mais les mots ne suffisent pas à effacer les conséquences de cet accident. Depuis son entrée en détention, il vit dans un isolement total, une mesure de sécurité due à sa forte médiatisation.
Une routine pour survivre
Désormais, Pierre Palmade suit une routine quotidienne bien réglée, comme l’a confié un gardien de prison au magazine Voici. Entre longues séances de vélo elliptique, télévision et écriture, l’ancien comédien occupe ses journées de manière répétitive. « Il ne fait que ça, du matin jusqu’au soir » raconte le surveillant, qui décrit également Pierre Palmade comme un détenu discret et sans histoire.
Selon ce même gardien, l’humoriste « va bien« malgré les conditions de détention. « Il ne se plaint pas. À part sa cellule, qu’il ne range jamais, on n’a rien à lui reprocher. Dans notre jargon, c’est ce qu’on appelle un détenu transparent », a-t-il ajouté.
Avec encore de nombreux mois à purger derrière les barreaux, Pierre Palmade s’efforce de garder une stabilité de vie afin de tenir le coup en prison.