« La toxicomanie détruit ma vie » : Ce terrible SMS envoyé par Pierre Palmade avant son accident
Alors que son procès va s’ouvrir ce mercredi 20 novembre 2024, Pierre Palmade a fait l’objet d’un documentaire sur Sept à huit diffusé sur TF1 dimanche 10 novembre 2024. Dans ce dernier, l’un des derniers échanges avec ses amis a été dévoilé. Il se confie sans filtre sur sa toxicomanie.
Pierre Palmade bientôt jugé pour l’accident qu’il a provoqué
Pierre Palmade, humoriste au passé tumultueux, a vu sa vie basculer le 10 février 2023, lors d’un tragique accident de la route. Alors qu’il conduisait sous l’influence de substances, il a perdu le contrôle de sa voiture et percuté un véhicule à contre-sens, causant des blessures graves à un père et son jeune fils de sept ans.
Plus douloureusement encore, une femme enceinte a perdu son bébé dans cet accident. Cet événement, qui a secoué la France, a été évoqué dans l’émission Sept à Huit le dimanche 10 novembre 2024.
Son producteur y a partagé un message troublant de l’humoriste, envoyé le lendemain d’une prestation annulée : “Je suis honteux de vous avoir fait ce sale coup hier soir. Mais je suis en ce moment dans une période où ma toxicomanie a détruit ma vie.”
Pierre Palmade de retour sur scène ? Pierre Palmade de retour sur scène ?
Pierre Palmade tente de se reconstruire
Depuis cet accident, Pierre Palmade semble engagé dans un processus de reconstruction. Son ami, François Rollin, a affirmé que l’humoriste serait désormais sobre, abstinent depuis plus d’un an, sans drogue ni alcool.
Cette “petite victoire dans un océan de catastrophes” marque pour lui un premier pas vers une possible rédemption. Rollin ajoute que Palmade, hanté par le souvenir des victimes, et particulièrement par la perte de l’enfant à naître, est déterminé à essayer de réparer ses erreurs.
“Il a la folle envie de se faire pardonner, de réparer,” confie François Rollin. Pour le moment, Pierre Palmade reste présumé innocent des faits qui lui sont reprochés et continue d’écrire pour des artistes sous pseudonyme.