« PPDA dirige mon visage vers son sexe » : les accusations chocs d’une stagiaire qui a croisé la route du journaliste
Ce jeudi 28 avril, Complément d’enquête va consacrer un numéro spécial à Patrick Poivre d’Arvor. L’occasion pour nos confrères de dévoiler des témoignages inédits. Comme notamment celui de Marie, une jeune stagiaire qui aurait malheureusement croisé la route du journaliste.
Découvrez le récit glaçant de Marie, stagiaire de Patrick Poivre d’Arvor…
Ce jeudi 28 avril, France 2 va diffuser un numéro spécial de Complément d’enquête, « PPDA, la chute d’un intouchable« . Au cours de ce reportage, les journalistes ont souhaité revenir sur les plaintes déposées pour viol et agressions sexuelles à l’encontre de Patrick Poivre d’Arvor. Ainsi que sur les témoignages des nombreuses femmes que ce scandale a fait émerger. Pour ce documentaire, Romain Verney, réalisateur, a consulté les témoignages de ces femmes qui avaient été publiés dans Libération, Le Monde et même diffusés dans Sept à huit. Mais une nouvelle potentielle victime a également souhaité s’exprimer dans ce numéro de Complément d’enquête.
Cette fois-ci, les faits auraient eu lieu en 2015. Marie, 24 ans à l’époque, effectue un stage à Radio Classique et PPDA anime une partie de l’information. Elle explique que le journaliste aurait eu des gestes déplacés de la main, sur sa cuisse alors qu’ils n’auraient parlé ensemble même pas dix minutes. Quelques instants après, il lui aurait proposé de partir en week-end et aurait essayé de l’embrasser…
Autre témoignage, celui d’une certaine journaliste de TF1. Elle révèle qu’alors qu’il la fixait lorsqu’elle passait dans un couloir, le présentateur serait venu vers elle… Aurait enlevé un bouton de pantalon… Et en l’attrapant par les cheveux, aurait rapidement dirigé son visage, vers son sexe.
Depuis les accusations, il est considéré comme un paria !
Depuis que le scandale a éclaté, il faut savoir que Patrick Poivre d’Arvor est considéré comme un véritable « paria ». En effet, ses 27 accusatrices mettraient tout en œuvre afin d’empêcher le journaliste de parler comme cela a été dévoilé dans le Paris Match le 7 avril dernier, dans un numéro consacré à la nouvelle vie de PPDA.
L’hebdomadaire affirme, en effet, que celles qui se disent victimes du journaliste, contactent plusieurs programmateurs pour les encourager à renoncer à accueillir Poivre d’Arvor. Une méthode qui semblerait visiblement fonctionner puisque le journaliste serait recalé d’un grand nombre d’événements.