Emmanuel Macron au coeur d’un scandale aux obsèques de la Reine Elizabeth II
Mis à jour : Finalement, Emmanuel Macron aurait bien pris le bus réservé aux chefs d’Etat ce matin lors des obsèques de la Reine. Il a bien suivi le protocole officiel. Joe Biden aurait été le seul à avoir l’autorisation d’utiliser sa limousine présidentielle pour des questions de sécurité.
Ce lundi 19 septembre 2022, des centaines de dignitaires étrangers et têtes couronnées sont attendus à Londres afin d’assister aux funérailles d’État de la reine Elizabeth II. Mais il faut savoir que l’organisation de ces dernières est un véritable casse-tête sécuritaire et diplomatique. D’autant plus que les invités se sont vus accorder certains privilèges, que Macron et Biden refusent d’utiliser.
Macron refuse de monter dans le bus collectif prévu pour se rendre aux obsèques de la Reine
Ce lundi 19 septembre 2022, les funérailles de celle qui se savait condamnée auront lieu à l’abbaye de Westminster, dans la capitale Britannique. Pour l’occasion, des bus collectifs vont remplacer les hélicoptères et véhicules privés pour se déplacer dans Londres, comme l’a notamment indiquée nos confrères du site Politico ce lundi 12 septembre.
Des dignitaires du monde entier y sont attendus. Et, comme vous devez certainement l’imaginer, il s’agit d’un immense défi sécuritaire et logistique pour les autorités. Celles-ci auraient d’ailleurs demandé aux leaders étrangers d’utiliser, le plus possible, des vols commerciaux pour se rendre aux funérailles. Et non des avions privés.
Personne ne doit se sentir offusqué
Pour l’événement, la reine Margrethe du Danemark a d’ores et déjà annoncé faire le voyage. Ainsi que le roi d’Espagne Felipe VI, accompagné de son père Juan Carlos I.
Joe Biden et son épouse ont également affirmé faire partie de la liste des invités diplomatiques. Le couple a d’ailleurs atterri samedi soir dans la capitale. Mais contrairement aux autres dirigeants, le Président Américain a obtenu l’autorisation d’utiliser sa limousine présidentielle blindée.
Et alors que certains maires français refusent de mettre leur drapeau en berne pour l’occasion… On apprend également ce lundi matin que notre cher président aurait copié son confrère américain et aurait également refusé de monter dans le bus. Pour l’heure, on ignore par contre quels arrangements ont été trouvés.
Et comme le souligne le Times, étant donné qu’il est important d’éviter tout risque que quiconque se sente offensé, nul doute alors qu’une solution a rapidement été envisagée.
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