Obsèques de Guy Bedos : le geste touchant de son fils Nicolas Bedos au funérarium
Les obsèques de Guy Bedos se tiendront ce jeudi 4 juin, à Paris. Dans une colonne de Paris Match, la fille de l’humoriste dévoile le geste touchant de Nicolas Bedos au funérarium.
Un geste touchant de la part de Nicolas Bedos pour son père
Le 28 mai dernier, l’humoriste Guy Bedos est décédé à l’âge de 85 ans des suites d’une longue maladie d’Alzheimer. Son fils, Nicolas, avait alors annoncé la nouvelle sur Instagram, en fin d’après-midi.
Depuis ce triste jour, la famille Bedos prépare les obsèques en multipliant les hommages. Ce jeudi 4 juin, la fille de l’artiste, Victoria Bedos, a publié une lettre à son père dans les colonnes de Paris Match.
Elle écrit : « Nous qui pensions juste faire une petite cérémonie intime en Corse, nous voilà partis dans l’organisation de ton ultime spectacle, à l’église Saint-Germain-des-Près, le quartier de tes débuts. Et on a le trac, je peux te dire. »
Puis, la soeur de Nicolas Bedos a dévoilé un geste touchant que le comédien a fait : « Depuis que tu es parti, on fait attention à tous les détails, la boule au ventre, comme ce geste bouleversant de ton fils, au funérarium, qui a desserré le noeud de ta cravate parce que c’est comme ça que tu la portais. »
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Les cérémonies d’adieu imaginées par Guy Bedos
Ce jeudi 4 juin se dérouleront les obsèques de Guy Bedos, à l’église de Saint-Germain-des-Près, à Paris. Ensuite, l’humoriste français sera enterré à Lumio, en Corse, le 8 juin prochain.
Dans une lettre publiée à France Inter, Nicolas Bedos avait donné quelques détails sur les cérémonies imaginées par son paternel.
« On va t’emmener où tu voulais, c’est toi qui dictes le programme, c’est toi qui conduis sans permis. D’abord à l’église Saint-Germain, tu n’étais pas très pote avec les religions, mais les églises, ça t’emballait. (…) Puis on t’envole en Corse, dans ce village qui te rendait un peu ta Méditerranée d’Alger. On va chanter avec Izia et les Tao, du Higelin, du Trenet du Dabadie et Nougaro. On va t’faire des violons, du mélodrame a capella : faut pas mégoter son chagrin, à la sortie d’un comédien. Faut se lâcher sur les bravos et occuper chaque strapontin. C’est leur magot, c’est ton butin. D’autant que je sens que tu n’es pas loin… Tu n’es pas mort : tu dors enfin« , écrivait-il.