Naps accusé de v*ol : Le témoignage glaçant de la victime présumée révélée
Naps va bientôt être entendu par la justice. Le rappeur est visé par une plainte pour vi*l après qu’une jeune femme ait porté plainte le 1er octobre 2021 pour des faits survenus quelques jours plus tôt dans une chambre d’hôtel.
Alors que la cour d’appel a décidé de renvoyer l’affaire devant une cour criminelle, la victime est sortie du silence comme le rapporte Le Parisien.
Naps accusé de v*ol
Naps, célèbre rappeur marseillais, est actuellement sous les feux des projecteurs pour des raisons bien éloignées de sa musique. Mis en examen le 4 août dernier pour v*ols et agressions sexuelles, il fait l’objet de plusieurs plaintes.
Trois femmes l’accusent d’actes commis dans un hôtel de Saint-Cyr-sur-Mer, dans le Var. Une autre plainte, déposée en octobre 2021 par une jeune femme de 20 ans, mentionne des faits similaires qui auraient eu lieu dans un hôtel parisien du 12e arrondissement.
Ce mardi 29 octobre, la cour d’appel de Paris a confirmé sa mise en examen, renvoyant l’interprète de La Kiffance devant une cour criminelle.
Il encourt jusqu’à quinze ans de réclusion.
D’après les éléments d’enquête rapportés, la soirée en question aurait débuté dans une boîte de nuit parisienne, où Naps et ses amis auraient rencontré trois jeunes femmes. Ensemble, ils auraient poursuivi la fête dans une chambre d’hôtel, où l’alcool et le protoxyde d’azote auraient contribué à l’ambiance.
La plaignante affirme s’être réveillée pour découvrir Naps engagé dans un rapport sexuel non consenti : « Ce n’est que quelques instants plus tard qu’elle dit avoir été réveillée après avoir senti le trentenaire, nu, effectuer une pénétration vaginale sans préservatif. Elle constate alors que ses sous-vêtements ont été enlevés. Lors de ses auditions, elle a indiqué avoir tenté de le repousser mais n’en aurait pas eu la force. »
Le rappeur dément et fait état d’une relation consentie. L’instruction a relevé des éléments contradictoires : des traces ADN et des témoignages soutiennent la version de la plaignante. Naps, défendu par Me Nabil Boudi, se prépare à un procès potentiellement prévu en 2025, où il encourt jusqu’à quinze ans de réclusion.