Mort de Michel Blanc : pourquoi l’acteur n’a jamais eu d’enfants ?
Michel Blanc est décédé à l’âge de 72 ans des suites d’un malaise cardiaque, dans la nuit de jeudi 3 à vendredi 4 octobre 2024. L’acteur emblématique des Bronzés laisse derrière lui sa femme, Ramatoulaye Diop.
Elle partageait sa vie depuis plus de 15 ans et bien que le couple soit discret dans les médias, Michel Blanc avait évoqué à plusieurs reprises pourquoi ils n’avaient jamais eu d’enfants.
Michel Blanc s’en est allé
Michel Blanc, acteur emblématique du cinéma français, est décédé dans la nuit du jeudi 3 au vendredi 4 octobre, à l’âge de 72 ans.
Connu pour son rôle culte de Jean-Claude Dusse dans Les Bronzés, il laisse derrière lui de nombreux films culte avec la troupe du Splendid notamment.
Très discret sur sa vie privée, Michel Blanc partageait sa vie avec Ramatoulaye Diop, une styliste sénégalaise, avec qui il était en couple depuis près de quinze ans.
Il avait évoqué les raisons d’une telle discrétion lors d’un entretien accordé à Paris Match en 2015 : « Nous ne travaillons pas dans les mêmes milieux. Ni elle ni moi n’avons envie qu’elle soit cataloguée ‘femme de’ ».
Pourquoi il n’a jamais eu d’enfants
Dans la suite de l’entretien, Michel Blanc se confiait sur son désir de paternité. Même s’il aurait aimé avoir des enfants, cela ne s’est jamais concrétisé.
« Je n’ai rien contre l’idée d’un enfant et je vis avec quelqu’un qui est en âge d’en avoir. J’ai été la priorité de mes parents et j’ai pu me demander si je serais capable d’avoir une autre priorité que ma petite personne. »
Des propos réitérés quelques années plus tard lors d’une interview à Ciné Télé Revue : « Ça ne s’est jamais présenté dans ma vie, même si avec ma compagne je me suis dit : ‘Oui, peut-être’, mais je me suis décidé trop tard. […] Ça aurait été : ‘Ton grand-père vient te chercher à l’école’, je voulais éviter ça. D’un commun accord, on s’est dit que ce serait une folie. C’est peut-être mieux ainsi. Je n’aurais peut-être pas été un bon père. J’aurais transmis mes névroses, ce n’est pas la peine. »