« On vivait à 4 dans 10m² » : une ancienne Miss dévoile ses problèmes d’argent
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Une ancienne candidate de Miss France, Meggy Pyaneeandee a posté une nouvelle photo sur son compte Instagram ce mardi 8 mars 2022. La jeune femme qui a participé au concours en 2016 a accordé une interview au magazine Le 1 l’Hebdo et a accepté de revenir sur l’élection et son arrivée à Paris et a fait d’étonnantes révélations.
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Une ancienne Miss France à coeur ouvert
Depuis quelques mois maintenant, il n’est pas rare de voir des candidats de Miss France qui s’en prennent au concours. En décembre 2021, Vaimalama Chaves était invitée sur le plateau de Jordan de Luxe et est revenue sur le salaire de Miss France qu’elle considère comme faible et « pas à la hauteur » : « On travaille officiellement – donc officieusement ce n’est pas tout à fait ça – six jours sur sept. On doit quitter notre appartement à six heures du matin et, être totalement prête. Dès qu’on sort de chez nous, on doit afficher un sourire constant, jusqu’à ce qu’on rentre. Parfois, on part de la maison pendant trois ou quatre jours ».
Mais ce mardi 8 mars 2022, c’est une candidate de l’édition 2016 qui a décidé de faire des révélations sur l’avant-concours, le moment où elle est montée à Paris pour tenter sa chance. Et les débuts n’ont pas été si faciles.
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« On était 4 dans 10m2 »
En effet, dans une interview accordée à 1 l’Hebdo, elle est revenue sur le début de sa carrière et sur ses nombreuses galères financières : « On vivait à quatre dans un 10m2 » commence-t-elle par avouer.
Mais ce n’est pas tout, suite à cela, Meggy Pyaneeandee a expliqué les raisons de ses soucis : » Mon père a travaillé comme maçon et on a pu déménager au Blanc-Mesnil, en Seine Saint Denis, où mes parents ont fait construire leur maison (…) Mes parents avaient acheté à crédit, le studio de Réaumur au propriétaire de l’époque, mais quand il est décédé, sa nièce a poursuivi mes parents en justice car elle remettait en cause, l’achat du bien (…) Mes parents ont perdu le procès et se sont retrouvés endettés de centaines de milliers d’euros, la maison a été hypothéquée. Je l’ai rachetée sinon ils allaient la perdre. Je suis très contente de l’avoir fait mais c’est dramatique de se dire que mon premier emploi finance un tel prêt ». Une interview sincère et pleine de courage.
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