« Je te tue » : Matthieu Delormeau menacé par Cyril Hanouna ? Un enregistrement dévoilé
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Ce mardi 18 mars 2025, Cyril Hanouna a été la cible d’une enquête de Mediapart. Dans celle-ci, les journalistes révèlent les menaces que l’animateur de Touche pas à mon poste a eues envers son chroniqueur, Matthieu Delormeau.
Cyril Hanouna au cœur d’une polémique
Une récente enquête menée par Mediapart, publiée le 18 mars 2025, jette une lumière crue sur les coulisses de Touche pas à mon poste et les méthodes controversées de Cyril Hanouna.
Le média d’investigation révèle un climat rythmé par des violences physiques, des menaces et des pressions exercées en coulisses.
Parmi les incidents marquants, un épisode survenu le 2 octobre 2019 retient l’attention : alors que l’humoriste Malik Bentalha était invité sur le plateau, son agent, Sofiane Mejot, aurait été violemment agressé dans sa loge par plusieurs individus, dont le producteur Jean-Rachid Kallouche, proche de l’animateur.
Selon des témoins, la scène s’apparentait davantage à une punition qu’à une simple intimidation. Une plainte a bien été déposée, mais l’affaire a finalement été classée sans suite, faute de coopération de la victime avec les enquêteurs.
D’anciens chroniqueurs de l’émission confient que les consignes étaient claires : ne rien divulguer de ce qui se passait en interne.
Les menaces qu’il a eues envers Matthieu Delormeau
L’enquête de Mediapart met également en avant les tensions entre Cyril Hanouna et Matthieu Delormeau, ancien chroniqueur de l’émission.
En février 2023, une altercation aurait éclaté en dehors des caméras, au cours de laquelle Hanouna aurait adressé des menaces explicites à Matthieu Delormeau, lui reprochant son manque d’enthousiasme sur le plateau, alors que ce dernier traversait une période personnelle difficile.
D’après des enregistrements obtenus par Mediapart, l’animateur aurait déclaré qu’il n’hésiterait pas à recourir à la violence s’ils se retrouvaient face à face en dehors du cadre professionnel : « Je suis en colère, je vais te mettre en sang. […] T’es mon ami, mais t’es pas mon ami, je te tue… »
Des propos qui ont été catégoriquement démentis par l’intéressé via son avocat.
