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Mathilde Seigner accusée du pire par sa soeur : le clan explose

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Pour les fans de cinéma, le clan Seigner a une place à part. En effet, sur deux générations, le lien avec le cinéma semble évident. Cependant, plusieurs tragédies ou rumeurs vont venir affaiblir le moral ou la carrière de ces trois sœurs pas comme les autres. La dernière affaire d’entre d’elle provient directement la cadette, Marie-Amélie. Comble de l’horreur, elle vise la seconde Mathilde. Or, par ricochet, ce scandale va éclabousser toute la tribu Seigner sans la moindre exception, y compris des amis proches du trio.

Dans la famille Seigner, on demande…

Le papi génie

Comme nous venons de vous le révéler, le fantôme grand-père rôde dans l’esprit des férus de théâtre, ou bien de cinéma. Durant toute sa carrière, et jusqu’à sa mort au début des années 90, le sociétaire de la Comédie Française n’a eu de cesse que de distiller des conseils à ces petites-filles.

Du reste, il fut également le professeur d’autres artistes mythiques tels que Jacques Villeret ou encore Francis Perrin. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien que sa propre fille a écrit un livre à son sujet.

Le papa « rêveur »

Début 91, tout va basculer. Pour Mathilde Seigner, après cette « nuit atroce » du 20 janvier, rien ne se sera plus jamais comme avant. Lorsque l’incendie se déclenche dans cet appartement cossu de la rive gauche parisienne, elle se propage rapidement. Si bien que la femme de Louis Seigner n’a pas le temps de réagir. Tirée de son sommeil, puis sauvée in extremis par sa cadette Françoise, son époux n’a pas eu cette chance. Selon l’enquête de l’époque, il semblerait que la pipe mal éteinte de l’acteur soit responsable du drame. Du propre aveu de l’actrice, cette nuit et les jours qui ont suivi sont « abominables, comme un cauchemar où l’on se dit que ce n’est pas vrai.»

Trois décennies plus tard, le père des filles Seigner s’envole à son tour. Cette fois, ce n’est pas un accident matériel, mais bien un pépin de santé qui est la cause. En pleine pandémie, Mathilde Seigner tire la sonnette d’alarme sur les réseaux sociaux. « Mon petit papa chéri, c’est dans cette nuit du 4 au 5 août que tu nous as quittés. Tu nous manques tellement. Je poste peu mais le ciel est pour toi ce soir, je t’aimais tant.» Peu de temps après nos confrères dévoilent qu’un AVC foudroyant serait responsable de son départ.

La maman discrète

Discrète, Aline Ponelle, la mère des sœurs Seigner se montre peu. À l’heure où nous écrivons ces lignes, il existe pas ou peu de photos d’elle en compagnie de ses trois filles. Aussi, les déclarations où la seconde parle de sa génitrice se comptent sur les doigts d’une main. Aussi, quand Mathilde précise qu’elle n’a « jamais été adepte de la relation fusionnelle », elle persiste et signe. « Ma maman n’est pas ma copine ! Il y a des sujets que je n’ai pas envie d’aborder avec elle parce que ça me met mal à l’aise. »

Qui est Mathilde ?

Vous l’avez compris, Mathilde Seigner dit souvent tout haut ce que les autres membres de sa famille ou collègues du métier pensent tout bas. Aussi, lorsque Marc-Olivier Fogiel la reçoit dans son émission Le Divan, c’est l’occasion ou jamais de lui tirer les vers du nez. Pour commencer, il veut tout savoir de la relation qu’elle entretient avec son aînée, Emmanuelle. « Est-ce que d’une certaine manière, vous vous êtes construite en opposition… A l’inverse d’elle ? »

D’abord choquée, elle finit par répondre en toute franchise. « J’ai souffert de certaines choses probablement (…). Surement de son physique. Elle était belle, tout le temps belle, belle, belle. Et je devais souffrir de ça, mais aujourd’hui, je m’en fous complètement » Bien plus tard, Mathilde Seigner va faire un drôle d’aveu. « J’aurais eu confiance en moi, j’aurais pu mieux m’habiller. Je me suis pas mal dégradée... Peut-être pour ne pas prendre sa place ? » Plus que jamais, elle souligne qu’elle a eu la sensation d’avoir l’étiquette collée de « grande gueule » ou de « fille drôle ».

Évoquant son emploi du temps professionnels chargé, Mathilde Seigner souligne qu’elle réserve le créneau des fêtes d’année pour sa famille. Du reste, heureusement que le téléphone existe, car il leur permet de ne pas couper le lien.

Aussi, lorsque Benjamin Castaldi leur propose de jouer ensemble dans cette pièce, c’est un long processus qui commence. Pour rappel, elles devaient prendre les traits de la grand-mère du chroniqueur de TPMP. De son côté, son ainée avait la lourde charge d’incarner sa rivale, Marylin Monroe. Voici comment elle résume les choses. « Au début, il y a une réelle étrangeté à jouer avec Emmanuelle et à songer que je suis avec ma sœur. Au fur et à mesure de ce face-à-face, on est sorties de notre sororité pour devenir juste des actrices.»

Avec les hommes

Lorsqu’Emmanuelle Seigner tombe amoureuse du réalisateur Roman Polanski, elle est à peine majeure. Hélas, un scandale sur lequel nous reviendrons plus tard va venir faire vaciller l’équilibre de ce couple. Néanmoins, avec sa belle-sœur, le courant passe quasi immédiatement. Aussi, lorsque la femme du cinéaste décide de donner sa version des faits dans un livre, elle vole à son secours. « N’en déplaise à certains, elle a le droit de raconter sa vérité. Je suis fière d’elle. Ce qu’elle a vécu est injuste.»

De 1998 à 2001, Mathilde Seigner est la compagne de Laurent Gerra. Hélas, au fur et au mesure, le complice de Virginie Lemoine refuse de s’engager à ses côtés. Dans la presse, il explique pourquoi il a toujours fui le mariage. « Je trouve que ça ne sert à rien. Je vais me mettre des gens à dos. On n’a pas besoin d’une formule administrative pour prouver à quelqu’un qu’on l’aime ni pour se faire confiance.»

De son côté, Mathilde Seigner fait un triste bilan de la situation. « À l’époque, je n’étais pas facile, j’avais un carac­tère épouvan­table, en plus, il était plus connu que moi, donc ça me faisait souf­frir. (…) J’ai eu beau­coup de chagrin. »

Un caractère bien trempé

En 2012, on lui propose de remettre un César. Hélas, sa langue va fourcher et elle ne va pas féliciter le vainqueur (Michel Blanc) mais plutôt l’un des nommés (Joey Starr) ! Afin de s’en justifier, elle raconte une drôle d’anecdote à la presse. « Toute la journée, ils m’ont tous conditionnée : ‘Ouais, s’il ne l’a pas, tu dis un mot. Il faut que ce soit lui qu’il l’ait’. Et comme je suis quelqu’un de spontané, ça a donné cette c*nnerie. »»

En 2018, Mathilde Seigner fait la une de la rubrique fait-divers. Interpellée au volant de sa voiture en état d’ivresse, elle passe seize heures en garde à vue. Lors de son procès, nos confrères rapportent qu’elle « écopé de trois mois de prison avec sursis et de six mois de suspension de permis. » Peu de temps après, elle explique pourquoi elle a préféré plaider coupable «J’ai eu peur. J’aurais pu renverser quelqu’un, j’aurais pu me faire mal, je sais que j’ai fait une énorme bêtise (…) Il y a une chose que je voudrais dire à tous les Français: ne prenez surtout pas votre voiture dans ces cas-là. On met sa vie en danger et surtout la vie des autres»

En juillet 2024, les Français ont dû aller voter plusieurs fois. En effet, à la surprise générale, le président de la République décide de dissoudre l’Assemblée nationale. Dans ce contexte épineux, des confrères allemands dévoilent que Mathilde Seigner aurait organisé des diners avec des hommes politiques, principalement de droite. Écœurée, elle va réagir sur Instagram. « Il est insupportable que des journalistes assènent de tels mensonges sans même prendre la peine de me contacter, ni de vérifier leurs « sources ». Mon avocate va instamment porter plainte en diffamation publique contre les articles de presse publiés dans Glitz et dans Le Monde ayant diffusé cela »,

Emmanuelle Seigner

Son père, son héros

Depuis quelques années, Emmanuelle Seigner se fait rare dans la presse. Cependant, quand il s’agit de rendre un hommage à leur géniteur, elle tombe le masque. « Cette épreuve fut violente ! Il n’était pas vieux. On ne s’y était pas préparées. Puis on a dû, toutes les trois (avec leur sœur Marie-Amélie, NDLR), s’occuper de maman». De plus, elle souligne que le « déchaînement » et les rebondissements autour de son époux ont « assombri les dernières années de (son) père.»

Étonnée par les révélations de sa petite sœur Mathilde sur sa beauté, elle tient à souligner l’un de ses rares souvenirs. « Je me souviens que, lorsqu’on arrivait en vacances, dans l’heure, Mathilde connaissait tout le village. Elle était copine avec tout le monde. Alors que moi, j’étais plus snob.»

Qui est l’homme de sa vie, Roman Polanski ?

Enfin, l’ainée de la fratrie Seigner précise qu’il y a eu un avant et un après « l’arrestation de Roman» en 2009. À jamais reconnaissance du soutien de ses proches, elle persiste et signe. Sa famille « [l’a] sauvée dans ces moments difficiles»

Concernant sa carrière, Emmanuelle Seigner va droit au but. Depuis 2016, « je n’ai aucune offre en France, ils m’ont cancelled.» Au reste de rester amère, elle estime que ce n’est pas un souci. En effet, et heureusement pour elle, à l’étranger, c’est l’inverse qui se produit.

Dans son livre, Emmanuelle Seigner dévoile son opinion sur l’étrange attitude de la gent féminine envers son mari. « Toutes les jeunes filles voulaient c//cher avec lui. C’était un truc de dingue. C’était fou quoi. Il avait 52 ans mais il avait l’air d’en avoir 30 ». Aussi, à tous ceux qui estimaient qu’il a usé de son statut de réalisateur pour draguer, elle balance. « Il était un grand metteur en scène, donc il attirait énormément, et je pense qu’il n’avait besoin de violer personne. »

En voyant le remue-ménage provoqué par ses propos, Emmanuelle Seigner rétropédale. « C’était une phrase maladroite. Je me suis mal exprimée, je m’en excuse.» Hélas, c’est déjà trop tard puisque les médias se focalisent sur la première version.

Marie-Amélie Seigner

Lorsque Marie-Amélie arrive l’été 1973, Emmanuelle a 7 ans et Mathilde 5. Beaucoup plus réservée que ses soeurs, elle ne parvient pas à percer au ciné. Pour autant, grâce au soutien du compositeur mythique Christophe, elle s’exprime par le biais de ses partitions et de quelques opus.

Et là, c’est le drame pour les filles de Jean-Louis Seigner !

Le 9 mars, soit deux jours après la remise de la Légion d’honneur à Mathilde Seigner, Marie-Amélie prend la parole sur la Toile. D’abord, elle choisit une musique de fond révélatrice de son état d’esprit. Tous les cris les SOS de Daniel Balavoine résument le mieux ses pensées noires. Ensuite, elle envoie un message fort à la ministre de la Culture. « Madame, vous décorez des individus en méconnaissance de leur véritable nature. Certes, ce sont des artistes, mais sachez que ces mêmes personnes ont fait subir à autrui des violences physiques et psychologiques d’une gravité extrême. Une grande partie se produisent au sein du cercle familial. Il n’y a pas que les hommes qui violentent les femmes. Certaines femmes (aussi)»

Presque une semaine après, la concernée décide de réagir par le biais d’un communiqué de presse. « Ma famille et moi-même sommes extrêmement peinés par cette situation. Ma sœur Marie-Amélie est très sensible, c’est un secret pour personne dans notre famille et notre entourage. Je suis effondrée de lire ses posts. Avec Marie-Amélie, notre relation a toujours été complexe, mais c’est ma sœur, et je l’aime. Nous nous sommes effectivement disputées il y a 20 ans, comme ça arrive souvent dans les fratries. Ça ne nous a pas empêchées de passer depuis, des moments merveilleux ensemble»

24 heures plus tard, la cadette des Soeurs reprend la parole. Cette fois, elle va directement s’appuyer sur un courrier redigé de la main de Mathilde « Marie, je viens de lire ta lettre qui est merveilleusement écrite. Je suis bouleversée, en larmes, et si tu savais… Tellement désolée de tout ce qui se passe. […] Attaque-moi, bien sûr, si c’est important pour toi et si je le mérite. Fais comme bon te semble. Je suis triste, tellement triste de cette situation, mais aujourd’hui, je ne peux plus rien faire. »

« Elle m’aurait pu me tuer… »

Et pour ceux qui s’interrogent, elle donne un exemple glaçant qui serait survenu en 2006. « Ma sœur m’a roué de coup à 3 reprises en hurlant, elle aurait pu me tuer, elle était ivre. […] Je me suis réfugiée en pleurs dans un hôtel. […] Le lendemain tout mon corps est marqué d’ecchymoses multiples… » Affaire à suivre donc !