Marlène Schiappa dévoile son salaire avant la politique !
Depuis le premier mandat d’Emmanuel Macron, des personnalités se démarquent. Par exemple, juste avant la dissolution, Gabriel Attal détient un étrange record. De fait, grâce à sa date de naissance, il est le plus jeune chef de gouvernement de la Ve République.
Parmi tous les ministres ou secrétaires d’Etat, l’Histoire retiendra aussi Marlène Schiappa. Cependant, bien avant d’obtenir le poste tant convoité de ministre ou bien de secrétaire d’Etat, la jeune femme avait déjà plusieurs cordes à son arc. Aujourd’hui, elle brise le silence sur son curriculum vitæ bien fourni et surtout, son salaire ! On va tout vous raconter dans les moindres détails !
La famille de Marlène Schiappa
Son père
Entre Marlène Schiappa et son père, le torchon brûle souvent. En effet, cet historien de profession assume ses pensées trotskistes. Comme l’atteste l’image ci-dessus, lors des fêtes de l’Humanité, il participe souvent à des débats ou des conférences.
Au cours de ces interventions, il n’hésite pas à critiquer la politique économique et sociale du chef de l’Etat. Du reste, lors de la précédente campagne présidentielle, il ignore les avertissements de Marlène Schiappa. Son soutien indéfectible au candidat Jean-Luc Melenchon va-t-il avoir un impact sur ses relations avec sa fille ? Le mystère demeure entier !
De son côté, Marlène Schiappa n’essaie même plus de le convaincre du bien fondé de ses actions. Mais ce n’a pas toujours été le cas. Presque majeure, elle fait la grimper la tension d’un cran. En lui annonçant qu’elle envisage de devenir gendarme, elle crée un tsunami. Finalement, à la dernière minute, elle rétropédale ne présente pas au concours. Inscrite à la Sorbonne, elle va étudier un temps la géographie.
Sa mère
Bien que directrice adjointe dans un établissement scolaire, sa mère partage les convictions de son époux. Néanmoins, au cours de son enfance et adolescence, les valeurs féministes de sa génitrice marquent Marlène Schiappa au fer rouge. Comme vous allez le voir, elle va avoir à cœur de changer leur quotidien, tant personnel, que professionnel.
Marlène Schiappa, mariée 2 fois. Qui sont les hommes de sa vie ?
Souvent présente dans l’émission de Cyril Hanouna, Marlène Schiappa fait des confidences aux chroniqueurs de TPMP. Quand elle avoue avoir franchi le pas du mariage à 19 ans, les téléspectateurs sont sous le choc. Avec le recul, elle définit cet épisode comme une « erreur de jeunesse« . Et pour cause, au grand dam de leurs proches, trois semaines plus tard après le passage à la Mairie, le couple entame une procédure de divorce.
À l’âge de 25 ans, elle épouse Cédric Bruguière et découvre aussi les joies de la maternité. À nos confrères de « Paris-Match », elle ouvre les portes de son jardin secret. Parents de deux princesses, le couple semble s’entendre à merveille.
À la fin de l’année 2022, Marlène Schiappa croise la route de Matthias Savignac. Ce voyage aux Nations-Unis avec le responsable de La « Mutuelle générale de l’Éducation nationale » est inoubliable. Des étoiles dans les yeux, elle évoque un véritable coup de foudre réciproque. Depuis leur retour, ils ne quittent plus !
Marlène Schiappa, une femme engagée
Au début du second millénaire, Marlène Schiappa se présente aux élections municipales « sur une liste associative de gauche à Paris« . À l’époque, elle vient de décrocher son baccalauréat section ES. Aussi, elle rêve de changer le quotidien des gens de son quartier « Montparnasse-Gaieté-Pernety«
Pendant la pandémie, se sentant plus en confiance, elle se jette à l’eau dans sa circonstriction de cœur. Avec Benjamin Griveaux, et malgré l’instauration du premier confinement, ils défendent le projet porté par la ministre de la Santé Agnès Buzin. Hélas, c’est un échec cuisant pour le parti de la majorité présidentielle.
Au Mans
Presque une décennie et demie plus tard, elle pose ses valises au Mans. Très vite, elle se démarque tellement que le maire socialiste lui propose de rejoindre son équipe. Cette fois, la magie opère. Élue, Marlène Schiappa s’investit totalement dans son rôle de conseillère municipale. De son propre aveu, cette expérience a « changé sa vie (…) Sans Jean-Claude Boulard, je ne me serais pas engagée en politique et je ne serais pas au gouvernement aujourd’hui. »
Un an plus tard, elle renouvelle l’essai, mais à l’échelle du département. Malgré les nombreuses propositions du groupe « La Sarthe à gauche« , son duo avec Stéphane Chevet arrive en seconde position.
Marlène Shiappa, une secrétaire d’Etat pas comme les autres
Suivant à la lettre les conseils de son mentor, Marlène Schiappa rejoint les rangs du mouvement « En Marche ». D’ailleurs, présente aux meetings organisés en province (Lyon, Angers, Bastia), elle gravit rapidement les échélons. À présent responsable et déléguée au pôle « égalité femmes hommes », elle persiste et signe. Si les Français accordent leur voix à l’ancien ministre des Finances, ce sujet est tout sauf anodin. Annoncé comme « la grande cause« du quinquennat, il titille la curiosité.
Lorsqu’il réflechit aux membres de gouvernement, Edouard Philippe intègre naturellement Marlène Schiappa. A ce moment-là, les agissements du producteur Harvey Weinstein défraient la chronique. Dès lors, s’appuyant sur la création des mouvements #MeToo puis #BalanceTonPorc, elle sensibilise lors du Festival de Cannes et crée également des « universités d’été du féminisme » à la maison de la Radio.
Lors de l’été 2018, tout bascule. Pour la première fois, elle pose des mots sur les maux des victimes de « harcèlement de rue« . Dans le même temps, elle veut rallonger la prescription des « crimes sexuels sur mineurs« . Enfin, elle diminue l’âge minima du consentement, en le passant de 15 à 13 ans. Grâce au soutien de la Garde des Sceaux Nicole Belloubet, ce « projet de loi » aboutit. D’abord, adopté à l’unanimité au Sénat, il l’est également à l’Assemblée nationale. Une belle victoire pour ce jeune femme ambitieuse.
Lors du remaniement ministrel, l’équilibre de Marlène Schiappa vacille. Et pour cause, dorienavant, elle doit également gérer la « Lutte contre les discriminations« . De nouveau, elle rivalise d’ingéniosité et devient le porte-parole de toutes les anonymes. Mixité des métier, entreprenariat féminin, mesures sur le congé parental ne sont que les pointes visibles de l’iceberg.
Au printemps, Marlène Schiappa dresse un constat sans appel. Invitée d’honneur à la 62e session de la « Commission de la condition de la femme », son mantra ne laisse personne indifférent. « France is back, and so is feminism » (« La France est de retour, le féminisme aussi »).
Quid de la communauté LGBT
En novembre, elle partage ses onze mesures pour contrer les violences morales et physiques à l’encontre de la communauté LGBT. Elle est à l’origine de LGBTPhobies, une vaste campagne de communication nationale dans les médias et sur les réseaux sociaux.
D’autre part, elle souhaite que les policiers ainsi que les surveillants de prison prennent plus au sérieux les témoinages des victimes. C’est pourquoi, elle rend obligatoire une série de formations. Enfin, estimant que tout est une question d’éducation, elle va à la rencontre des associations agréées.
Le bilan des mandats ministrelles de Marlène Schiappa
La laïcité
Lorsque Jean Castex arrive à Matignon, il la nomme ministre déléguée chargée de la Citoyenneté. Sous l’édige de Gérard Darmanin, elle a du pain sur la planche. Très vite, elle a à cœur de trouver une solution aux « enjeux de cohésion nationale, au respect du principe de laïcité, à la défense du droit d’asile et l’accueil des réfugiés. »
Lorsque Marlène Schiappa dédice de dissoudre l’Observatoire de la laïcité, elle crée un séisme politique. Afin de le faire évoluer, elle instaure des « États généraux« sur cette thématique.
Qu’on se dise, farouchement opposée à « l’islam politique« , traumatisée par l’assasinat de Samuel Paty, elle focalise ses efforts sur une « loi confortant les principes républicains« . Certes, les critiques au sein de son parti ou de l’opposition s’enchainent. Cependant, Marlène Schiappa défend son projet bec et ongle.
Au printemps 2021, elle annonce la création du fonds Marianne. Destiné à des « associations promouvant les valeurs de la République« , elle leur attribue un budget pharaonique de 2,5 millions d’euros. Hélas un an plus tard, une enquête de « Médiapart » dévoile l’envers du décor. A peine rélévé, le parquet national financer s’empare de ce lourd dossier. Très vite, la presse annonce l’ouverture d’une « information judiciaire pour détournement de fonds et abus de confiance« .
Pendant les diffèrents épisodes de la crise sanitaire, Marlène Schiappa ne se repose pas sur ses lauriers. Dès qu’elle a un peu de répit, elle cogite tout en dissèquant la société à la loupe. C’est pourquoi, elle donne un second souffle à la Miviludes. Pour rappel, il s’agit d’un organisme chargé d’étudier toutes les dérives sectaires.
Un cheval de bataille pas comme les autres
Toujours en partenariat avec Beauveau, elle organise un « Grenelle (dédié) aux violences faites aux femmes ». En plus de l’élargissement de la « grille d’évaluation du danger », elle crée des emplois d’intervenants sociaux. Présents dans les commissariats de l’hexagone, ces derniers ont un objectif : prêter main forte lors des dépôts de plainte ou des gardes à vue.
Le jour de la fête des femmes de 2021, elle passe de la théorie à la pratique. Comme nous l’avons mentionné plus haut, le principe d’égalité homme/femme demeure son principal letmotiv. Ce réseau mondial est l’une de ses plus grandes fiertés.
Le harcèlement scolaire
Quelques jours plus tard, elle pleure la tragique noyade d’une adolescente. Lorsqu’elle apprend le calvaire de la défunte à l’école, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase de Marlène Schiappa. En urgence, elle instaure un « comité des parents contre le harcèlement ». Composé de « zones rouges« , mais aussi d’un « baromètre« , il a l’ambition de devenir le plus précieux rempart de l’entourage des victimes.
Une drôle de reconvertion
A la télévision
A la suite des allégations contre le Fonds Marianne, Marlène Schiappa prend un peu de recul. Evincée du gouvernement, elle revoie sa copie. Néamoins, elle accepte un poste de chroniqueuse chez Eric Brunet (BFMTV) mais aussi chez Estelle Denis (RMC). Pour les téléspectateurs assidus, c’est une sacrée surprise de la voir commenter l’actualité.
Agacée par certains préjugés, Marlène Schiappa jette un pavé dans la mare. « Le Next Women 40 est une liste des prochaines femmes qui prendront la tête du CAC 40. De cette manière, on devrait arrêter de prétendre qu’on ne les trouve pas »
En novembre dernier, le président Macron reçoit ses membres à l’Elysée. Impresionné par l’influence et la motivation sans faille de son ancienne déléguée, le mari de Brigitte ne tarit pas d’éloges à son sujet.
Cette publication de « La lettre de l’Audiovisuel » amuse les admirateurs de Marlène Schiappa. Dans cet article, notre confrère révèle son retour à la case écriture. Non, ce n’est pas un énième panflet politique ou roman pour adultes. A l’instar d’Edouard Philippe et le feuilleton « Dans l’ombre », elle voit la petite lucarne comme un atout. Promis, on vous tient au courant !
La communication, la première passion de Marlène Schiappa
Avant de se lancer dans l’arène, Marlène Schiappa est chez Euro RSCG. Pas du tout amère et encore moins secrète sur ce passage dans cette agence de communication, elle dresse un constat sans appel. « Je gagnais plus d’argent avant de faire de la politique« .
Curieux et pointilleux de nature, notre ami Jordan de Luxe n’a pas à insister bien longtemps pour savoir le montant de sa fiche de paie. En précisant qu’elle possède quatre chiffre, Marlène Schiappa surprend les téléspectateurs de C8. « Un peu plus de dix mille euros » !
Sur la page de « Tilder », les fondateurs évoquent son arrivée ainsi que son profil de poste. « Marlène Schiappa est nommée Associée de Tilder à compter du 15 novembre 2023. Elle apportera au cabinet son expertise des stratégies de communication, d’engagement sociétal, de gestion de crise et du débat public. » Autant dire qu’elle ne va pas s’ennuyer une seconde !