Marcel Desailly rattrapé par le passé : un test ADN révèle une fille cachée de 10 ans !
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Le champion du monde 1998, Marcel Desailly, est au cœur d’un conflit judiciaire avec son ex-compagne. Suite à sa décision de ne pas reconnaître Victoria, sa soi-disant fille, un test ADN a été réalisé prouvant qu’il est bel et bien le père de cette dernière. Malheureusement, il n‘en est pas à son premier coup…
Une paternité confirmée, mais contestée
Le 10 décembre prochain, se tiendra une audience où Marcel Desailly, l’ex-capitaine des Bleus, est poursuivi par son ex-compagne pour la reconnaissance de leur fille Victoria, âgée de 10 ans. Alors que l’ex-footballeur refusait de reconnaître l’enfant, il a été contraint de se soumettre à un test ADN. Les résultats confirmeront sa paternité avec une fiabilité de 99,99999%. La justice se chargera de trancher cette affaire, lors du procès à venir.
Son ex-compagne, d’origine Brésilienne, avait rencontré le défenseur en 2010 alors qu’il était marié. Suite à leur relation secrète, une petite fille est née en 2014 du nom de Victoria. Malheureusement, Marcel Desailly a toujours refusé de la reconnaître officiellement. Depuis 2021, son ex-compagne se bat et réclame la reconnaissance officielle de sa fille, ainsi qu’une pension alimentaire de 5000 euros pour subvenir aux besoins de son enfant.
Des faits similaires en 2016 pour Marcel Desailly
Malheureusement, Marcel Desailly n’en est pas à sa première affaire concernant la reconnaissance d’un enfant à lui. En effet, l’ancien joueur de Chelsea a déjà été impliqué dans une situation similaire en 2016. À l’époque, il refusait de reconnaître Aïda, une jeune femme âgée de 25 ans prétendant être son enfant, ainsi que de se soumettre à un test ADN. Malgré cela, la justice a tranché sur cette affaire et l’avait déclaré comme étant son père.
Cette affaire avait fait polémique et terni l’image publique du français. Pour cause, Aïda avait à l’époque donné une interview pour Entrevue concernant son mal-être de ne pas le voir agir en tant que père. Elle avait ainsi confié :
« Je me suis dit que j’allais avoir le nom de famille de mon père, que j’allais pouvoir le rencontrer et même connaître mes demi-frères et demi-sœur« . Par la suite, elle affirma avoir peur de le rencontrer pour de vrai malgré la reconnaissance : « Je ne veux pas l’embêter… « , justifie-t-elle. « J’ai peur qu’il me rejette en face… Je sais qu’il va m’envoyer balader… Et s’il me rejetait en direct, je serais vraiment mal »
