Magali Berdah placée en garde à vue : elle brise le silence
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Magali Berdah a une nouvelle fois fait face à la justice. Ce lundi 2 octobre 2023, nos confrères du Parisien ont révélé que l’ancienne papesse des placements de produit avait été placée en garde à vue la semaine dernière à Nice.
Cela concerne des faits remontants à 2014. Elle est accusée de « banqueroute » et de « blanchiment ». Peu de temps après l’annonce de la nouvelle, elle est sortie du silence sur ses réseaux sociaux et a, comme d’habitude, nié une quelconque escroquerie.
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Magali Berdah encore face à la justice
Magali Berdah vit des moments compliqués. Depuis un peu plus d’un an maintenant, Booba livre une guerre sans merci contre les influenceurs et leurs placements de produit frauduleux. En effet, pendant de longues années, ils ont été nombreux à promouvoir des produits dangereux pour la santé, ou inexistants.
Mais parfois, la situation pouvait virer à la catastrophe. En effet, il n’était pas rare que certains incitent les abonnés à donner de grosses sommes d’argent pour des paris sportifs ou des achats de NFT inexistants. Il a donc décidé de monter au créneau pour pointer du doigt ces agissements, ce qui a mis à mal Magali Berdah.
En effet, celle qui tenait l’agence à l’origine de ces placements a vu son chiffre d’affaires baisser en flèche avant de devoir vendre son agence pour un euro symbolique.
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Elle sort du silence
Magali Berdah doit également faire face à la justice. Elle est soupçonnée d’avoir escroqué et abusé financièrement d’un vieil homme de 96 ans.
Et selon les informations du Parisien dévoilées ce lundi 2 octobre 2023, elle a été placée en garde à vue la semaine dernière pour des faits de « banqueroute » et « blanchiment ». Magali Berdah est « suspectée d’avoir mis en faillite une société avec un passif de 2,5 millions d’euros entre 2014 et 2015 ». Elle est placée sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès le 18 novembre prochain et risque jusqu’à 5 ans de prison.
Mais visiblement, cela ne l’inquiète pas. Magali Berdah a pris la parole sur son compte Snapchat pour démentir la gravité des faits. « Pour moi, à mon sens, il n’y avait pas lieu de me placer en garde à vue parce que je n’ai jamais refusé de me présenter à la justice, ni de répondre à quelques questions que ce soit. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait, je me suis présentée ».
Elle poursuit ensuite. « La société dont on nous parle, c’est une société pour laquelle je travaillais en 2014 et qui a été liquidée en 2015. Ils reprochent à la société d’avoir fermé en 2015 au lieu de 2014 et moi j’étais employée. Je me suis déplacée, j’ai répondu à toutes les questions parce que c’est totalement normal. Je n’ai rien à me reprocher. J’ai été assistée de mon avocat (…) On a bien l’intention de se battre et de répondre à ma convocation au tribunal ». Affaire à suivre.
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