« Tu me pièges » : Magali Berdah exige le retrait d’une séquence dans Complément d’enquête (vidéo)
Ce jeudi 8 septembre 2022, France 2 devait diffuser un nouveau numéro de Complément d’enquête. Dans ce dernier, qui sera proposé à une date ultérieure, nos confrères s’intéressaient au feuilleton de l’été, les placements de produits réalisés par les influenceurs, qui selon le rappeur Booba ne sont que des arnaques. Les journalistes ont évidemment interrogé Magali Berdah, directrice de l’agence Shauna Event et visiblement, une question ne lui a pas du tout plu. Découvrez la séquence dans la vidéo ci-dessous :
Magali Berdah VS Booba, l’affaire continue
Depuis le mois de mai, Booba et Magali Berdah se livrent un combat sans merci sur les réseaux sociaux. Tout a commencé lorsque le rappeur a pointé du doigt les placements de produits faits par les influenceurs, et ce, dirigés par plusieurs agences comme Shauna Event ou encore We-Event.
Le Duc de Boulogne a déploré le fait que cela soit de véritables arnaques la plupart du temps. Lorsque des clients, parfois jeunes et naïfs achètent un produit dont les mérites ont été longuement vantés par leur idole, il se peut que le produit arrive cassé, ne fonctionne pas ou n’arrive pas du tout.
‘Tu me pièges »
Un sujet qui a fait la une des médias cet été tant les rebondissements ont été nombreux. Booba a porté plainte contre Magali Berdah et inversement. Un sujet auquel se sont intéressés nos confrères de France 2 et du magazine Complément d’enquête.
Ce jeudi 8 septembre 2022, la chaîne devait diffuser un numéro sur ce fait, malheureusement, celui-ci a été déprogrammé après la mort d’Elizabeth II pour laisser place à une édition spéciale. Mais dans un extrait, on peut voir que Magali Berdah n’est pas tout à fait à l’aise avec le sujet. En effet, lorsque le journaliste lui fait part d’une illégalité sur son site, elle botte en touche et s’agace : « Affirmer qu’il n’y a rien à perdre pour un site de paris, c’est illégal » lui fait tout d’abord remarquer le journaliste.
« Tu me pièges ! Tu me fais parler de trucs, tu ne m’avais pas prévenue ! En plus de ça, je ne sais même pas si c’est les miens (contrats avec les marques, ndlr). J’ai répondu. Je n’ai pas pu vérifier si ça venait de chez moi ! Déjà, je voudrais que cette séquence-là n’apparaisse pas ! Je ne veux pas me sentir piégée dans le sens où je n’ai pas les éléments de réponse« .