Lou Pernaut se confie sur son physique : « Je fais le triple du poids…' »
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Il y a quelques mois, Lou Pernaut a pris la parole sur ses réseaux sociaux. La fille de Jean-Pierre Pernaut et Nathalie Marquay s’est confiée lors d’une interview sur la grossophobie dont elle peut être victime sur Internet et dans la vie de tous les jours.
Lou Pernaut se confie
Les réseaux sociaux, c’est souvent la foire aux complexes, surtout avec les critiques faciles derrière un écran.
Lou Pernaut, la fille de Jean-Pierre Pernaut et Nathalie Marquay, en sait quelque chose.
Dans une interview pour Rainbow Studio donnée en septembre dernier, elle s’est confiée sans filtre sur ses galères avec l’image qu’elle a d’elle-même, notamment son poids : « Aujourd’hui, complexe number one, c’est que je fais le triple du poids d’une Miss France. »
À 21 ans, Lou Pernaut explique avoir fait la paix avec son visage, mais le rapport à son corps, c’est encore une autre histoire. « Au quotidien, je fais genre que ça n’existe pas. Mais franchement, si je m’arrêtais là-dessus, je n’avancerais jamais », avoue-t-elle.
Mais voilà, les critiques pleuvent, surtout sur TikTok, où elle est suivie par plus de 1,3 million de personnes. Et même en essayant de faire abstraction, elle reconnaît : « À force de lire les mêmes trucs 100 fois, ça finit par te bouffer. »
Des moments pas toujours faciles à gérer
Malgré tout, Lou Pernaut ne compte pas se laisser écraser. Elle a décidé de transformer cette pluie de remarques toxiques en une mission pour sensibiliser sur le cyberharcèlement.
« Franchement, ça ne sert à rien de dire à quelqu’un qu’il a pris du poids ou qu’il en a perdu, on sait tous à quoi on ressemble en se regardant dans un miroir ».
Ce qui la touche le plus, ce sont les attaques sur son physique et celles visant sa famille. « Ça fait mal de voir à quel point les gens peuvent être méchants juste pour écrire un commentaire », lâche-t-elle.
Mais Lou Pernaut reste debout et assure avoir plein de projets pour faire bouger les choses. Elle veut utiliser sa notoriété pour encourager l’acceptation de soi et rappeler qu’on n’a pas à se conformer à des standards impossibles.
