Léna Situations harcelée par des masculinistes, elle prend une décision radicale
Ce n’est plus un secret pour personne, Léna Situations ne se laisse pas faire. Elle aime utiliser son compte Instagram pour répondre à ses nombreux détracteurs.
Et elle l’a prouvé une nouvelle fois. Ce samedi 22 février 2025, elle a posté une vidéo sur les réseaux sociaux pour se moquer de tous ceux qui s’en prennent à elle après qu’elle ait porté un body lors d’une soirée.
Léna Situations une nouvelle fois face aux critiques
Le samedi 22 février 2025, elle a publié une vidéo promotionnelle où elle met en avant un body rouge, le même qui avait déclenché une vague d’insultes sexistes une semaine plus tôt.
Ce vêtement, qu’elle portait lors de la soirée de lancement de sa marque Hôtel Mahfouf en collaboration avec Zalando, lui avait valu un flot de critiques misogynes sur les réseaux sociaux.
Plutôt que de se laisser abattre, l’influenceuse a choisi de détourner la situation en réalisant une vidéo au ton parodique, inspirée des publicités vintage des années 80.
Filmée en train de faire du sport, elle vante les mérites du body avec une voix off exagérément enthousiaste : « Vous rêvez d’une taille fine et d’un fessier sculpté ? Ne cherchez plus ! Voici le BODY SCULPTANT ULTIME ! ».
Pour couronner le tout, elle affiche un code promo nommé « TANA », clin d’œil à l’insulte qui a émergé en ligne pour dénigrer les femmes.
Une réponse pleine d’intelligence
Avec cette vidéo, Léna Situations ne se contente pas de faire preuve d’autodérision, elle tourne en ridicule ses détracteurs.
L’influenceuse y apparaît aux côtés de son meilleur ami Marcus, et ajoute ainsi un clin d’œil aux critiques qu’elle avait reçues pour avoir dansé avec lui lors de l’événement.
En légende, elle se présente comme « CEO of Tanas », détournant ainsi le terme insultant pour en faire un titre honorifique.
Cette manière de répondre au slut-shaming a immédiatement séduit sa communauté, qui a salué son audace et son humour.
Loin d’être atteinte par les attaques, Léna Mahfouf prouve une fois de plus qu’elle ne se laisse pas dicter sa conduite par les diktats misogynes.