Laeticia Hallyday criblée de dettes : où en est-elle dans leur remboursement ?
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Sept ans après la mort de Johnny, Laeticia Hallyday se débat encore avec ses dettes. Des dettes « colossales » qu’elle tente de rembourser tant bien que mal. Mais où en est-elle dans le processus ?
Laeticia Hallyday face aux dettes de Johnny
S’il a laissé le souvenir d’un père et d’un époux aimant et présent, Johnny n’est pas parti sans laisser quelques fardeaux à sa veuve. Ainsi, on apprend que cette dernière s’échine désormais à rembourser les dettes du défunt. Des dettes qui s’élèvent à environ 33 millions d’euros.
Pour s’acquitter, en partie, de cette somme, Laeticia a mis en vente l’énorme villa du chanteur, située à Marnes-la-Coquette. Un bien estimé à 10,5 millions d’euros et dans laquelle il est décédé en 2017. Malheureusement, ce dernier n’a toujours pas trouvé preneur. Une vraie déception pour celle qui n’a, pour l’heure, remboursé qu’un tiers de la dette de son défunt mari.
Si elle ne cesse de vanter les qualités de Johnny et ne se remet pas de son décès, la mère de Joy et Jade souligne toutefois à quel point cette dette « colossale » lui pèse.
12 millions d’euros déjà remboursés
Dans un reportage diffusé ce 20 juin sur NRJ12, on a obtenu davantage de détails à ce sujet. « À l’heure où on parle, on sait que sur les 33 millions d’euros, à peu près 12 millions ont été remboursés à l’État », explique Fabien Lecoeuvre. Laeticia devrait mettre pas moins de 10 ans à rembourser la totalité de la somme.
Celle-ci s’est d’ailleurs confiée sur le plateau de BFMTV. « Je me suis engagée à rembourser la dette de Johnny, qui est une dette fiscale compliquée, vertigineuse, énorme, colossale. […] Johnny m’a laissé un fardeau », déplore-t-elle. Elle précise : « Une partie des discussions se fait avec les États-Unis, car on leur a payé une grosse somme d’impôts ».
Une question se pose tout de même : pourquoi le bien de Marnes-la-Coquette ne se vend-il pas ? Pour un spécialiste dans l’immobilier de luxe interrogé par Closer, la raison est simple. « Ce problème n’est pas lié au marché immobilier qui ne pâtit pas de la crise à Marnes-la-Coquette, mais au bien lui-même. Les personnes qui veulent acheter un bien dans cette zone sont en quête de discrétion et ne veulent pas être exposées dans la lumière en s’offrant Savannah. D’autre part, son style particulier ne plaît pas à tout le monde et cette maison n’est pas du tout fonctionnelle. En revanche, son parc est magnifique », analyse-t-il.
