La fille cadette de Poutine vit une histoire d’amour avec… un Zelensky !
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Vous avez bien lu ! Ekaterina, la fille cadette de Vladimir Poutine, vit une histoire d’amour avec un certain Igor Zelensky, ex-danseur à la tête du Ballet de Munich. Son père l’a gentiment prié de rentrer plus vite que cela au bercail !
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La fille cadette de Vladimir Poutine rend son père fou de rage !
Un scénario digne d’un film à l’eau de rose ! Enfin, presque ! Ekaterina Tikhonova est âgée de 35 ans et la fille cadette du président Russe, Vladimir Poutine. Et il s’avère que cette dernière vit une histoire d’amour avec un Zelensky. Bien évidemment, pas le président ukrainien, mais un Russe prénommé Igor, 52 ans, ancien danseur de ballet.
Selon la presse locale, les deux tourtereaux se seraient rencontrés en 2017. Ensemble, il aurait même eu une petite fille la même année. Pendant deux ans, Ekaterina aurait fait la navette entre Moscou et Munich, où son amoureux dirigeait le Ballet national de Bavière. Mais finalement, lassée des frais, Ekaterina aurait décidé en 2019 de s’installer à Munich.
La guerre interrompt cette vie si paisible
Depuis, le Président Russe doit entendre parler de son gendre d’un côté et de son pire ennemi de l’autre. Et quand le lendemain du déclenchement de l’invasion, il fustige les riches exilés, on ne sait pas s’il range son gendre dans cette catégorie ou non. Igor, quant à lui, joue les modestes et n’hésite pas à insister, dans les gazettes allemandes, sur la simplicité de son séjour.
Néanmoins, la guerre en Ukraine a interrompu cette vie si paisible. Et les responsables du Ballet lui demandent de quitter ses fonctions, car il n’a pas condamné « l’opération spéciale ». Voilà donc que ce dernier revient au bercail en Russie, avec son épouse. Il devrait d’ailleurs s’occuper d’une fondation chargée de la valorisation du patrimoine culturel. Qui est, soit dit en passant, financée par le géant des hydrocarbures Rosneft.
Ekaterina, quant à elle, est certainement revenue à sa mission que lui avait assignée son père ! Réussir à développer un TikTok russe afin de mieux contrôler les réseaux sociaux. À la tête d’un centre baptisé Innopraktika, celle-ci devait mettre au point une technologie à l’aide des fonds alloués par Gazprom. Sauf qu’aucun projet n’a finalement vu le jour. Et Innopraktika végète depuis sa création en 2013.
