Kendji Girac : Une journaliste fait des révélations chocs sur sa compagne, « elle n’est pas… »
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Depuis le drame qui a touché Kendji Girac et sa famille, Soraya n’est plus une anonyme. Un passage de l’ombre à la lumière qu’elle regrette d’autant plus, que la presse lui aurait prêté des propos qui ne sont pas les siens, ainsi que de fausses intentions. La jeune maman a mis les choses au clair dans une récente interview.
Soraya, une compagne discrète
Soraya souhaite reprendre le cours de sa vie. Pour cause, durant plusieurs années, la belle brune a coulé des jours heureux aux côtés de Kendji Girac, dans l’anonymat. Si quelques photos d’elle ont fuité dans la presse, elle n’a jamais été un personnage public. Quel que soit l’événement auquel est invité son compagnon, elle n’apparaît pas sur les photos, préférant laisser la place aux habitués des projecteurs.
Sa volonté de se faire discrète, le chanteur la respecte. Ainsi, il ne parle pas de sa vie privée et ne la confronte pas aux caméras. Il préfère la garder dans son jardin secret, tandis que lui s’épanouit dans les strass et les paillettes, entouré des personnalités les plus connues du show-business.
Si on sait qu’ils sont ensemble depuis environ 2016, ce n’est qu’en octobre 2022 que le chanteur évoque de nouveau sa belle. « Elle ne veut pas se mettre en avant. C’est son choix. Je suis plutôt d’accord avec elle. Vivons bien, vivons cachés. C’est sa façon de vivre quelque chose de compliqué : être la femme d’un chanteur qui est toujours parti. C’est sa façon d’apprécier notre couple, être en retrait et être présente pour moi, comme elle le fait très bien d’ailleurs », déclarait-il sur les ondes de Radio Monaco.
La compagne de Kendji Girac sort du silence
Seulement, depuis le drame, impossible pour Soraya de songer à la tranquillité. Notamment les jours qui ont succédé l’incident, quand tous les yeux étaient braqués sur elle. Scrutant avec attention ses moindres faits et gestes. Au fil du temps, on lui a même prêté des propos, des intentions et des actions qui n’étaient pas les siens. À son grand désarroi.
Parmi les informations qu’elle conteste vivement, celle qui laisse entendre qu’elle aurait pris la direction de la Suisse avec leur fille. Un tuyau divulgué par Paris Match, qui n’a pas tardé à faire la Une de la presse. C’est d’ailleurs pour palier à ces « contre-vérités » qu’elle a accepté de s’entretenir avec Marie Poussel, journaliste chez Le Parisien.
Cette dernière connaît très bien Kendji Girac, ce qui a contribué à rassurer Soraya. Face à elle, elle se laisse aller aux confidences. « Je n’ai jamais voulu m’exprimer avant, car ce n’est pas moi l’artiste, ni moi qui suis dans la lumière. C’est lui. Aujourd’hui, je peux laisser écrire et dire des choses fausses sur Kendji ou notre couple. Des éléments de ma vie privée ont été divulgués sans mon accord, ou encore transformés. Ils ne correspondent pas à la vérité. Je ne peux pas laisser faire cela », explique la jeune femme.
« Je désire sincèrement retomber dans l’anonymat »
Dans le podcast Code Source, Marie Poussel revient sur cet entretien édifiant. Elle explique notamment que celui-ci est réalisé au téléphone et qu’elle s’est fait un devoir de briefer son interlocutrice en amont. D’autant que cette dernière n’est pas familière de l’exercice de l’interview.
Toutefois, elle constate très vite que Soraya est déterminée, qu’elle s’exprime d’une « voix posée » et a beaucoup de choses à dire. Alors, elle la laisse parler. « Elle n’est pas en colère, mais elle veut rétablir certaines vérités qu’elle lit un petit peu partout. Notamment que le lundi matin, elle serait partie. Ç’a été repris dans la presse entière. Elle ne l’accepte pas. Elle dit qu’elle n’a jamais été dans la colère dans laquelle on l’a décrite, qu’elle était très angoissée, que le monde s’est effondré quand elle a vu Kendji blessé dans la caravane… », rapporte la journaliste.
« Je n’avais jamais pris la parole jusqu’à maintenant, et j’espère qu’après cette mise au point, les médias respecteront notre choix de la discrétion. Je désire sincèrement retomber dans l’anonymat et que nous nous retrouvions en famille », conclut Soraya.
