Karine Le Marchand : elle dévoile une très rare photo de sa maman sur Instagram…
Ce week-end, c’était la très attendue Fête des Mères ! L’occasion pour beaucoup de se retrouver en famille comme pour Karine Le Marchand. D’ailleurs, à cette occasion, elle n’a pas hésité à adresser un tendre message à sa maman sur son compte instagram dans une photo touchante.
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Karine Le Marchand : ce tendre message adressé à sa maman
Ce dimanche 26 mai, beaucoup de familles ont profité de la Fête des Mères pour se réunir. Et c’était également le cas de Karine Le Marchand qui n’a pas hésité à partager ce tendre moment avec sa maman sur son compte instagram. C’est ainsi que nous découvrons les deux femmes dans une photo très complice.
Et pour accompagner ce magnifique cliché, la présentatrice de L’amour est dans le pré lui adresse un tendre message. « Gros bisous à toutes les mamans, à commencer par la mienne… Elle est drôle, gentille, fofolle, aimante, curieuse, elle m’a transmis ses valeurs et son goût d’aimer la vie et les autres, et son rire gras. Pour tout ça, merci Mamouchka ».
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https://www.instagram.com/p/Bx6uWEVC6kZ/
Karine Lemarchand : le combat d’une mère
Alors évidemment, cette Fête des Mères est également l’occasion pour Karine Le Marchand de se rappeler de ce long combat qui lui a fallu pour donner naissance à sa fille, Alya. « J’ai eu beaucoup de mal à avoir ma fille. J’ai commencé un parcours de PMA pour finalement tomber enceinte naturellement ». Aujourd’hui, cette maman louve et ultra protectrice ne cache pas sa fierté et son amour pour sa fille.« Je refuse de l’exposer davantage, car elle n’a que 16 ans. Elle est même malheureuse et me dit « Je suis comme le fils caché de Claude François, tu me caches ! »
D’ailleurs, l’année dernière, elle publiait un tendre message à l’attention de sa fille, également pour la Fête des Mères. « Il y a presque 16 ans, je devenais maman… ma vie qui fait sens…voilà la petite bonne femme de ma vie…Depuis le CM2, plus de dessins à paillettes, de boîtes d’allumettes en aluminium, de colliers de nouilles, de poèmes de six lignes qui finissent par « Maman je t’aime ». On devrait obliger les gosses à fabriquer des cadeaux manuels jusqu’en Terminale ! Ça lui foutrait la honte, mais je serais heureuse et je verserais ma larme…comme d’habitude quand elle me regarde avec amour. »