Joakim Noah (39 ans) sans filtre sur la carrière de son père Yannick Noah (64 ans) : « Mon père n’était pas…
Il y a deux semaines, Joakim Noah, actuellement en déplacement aux Philippines en tant qu’ambassadeur NBA dans le monde, il a été interrogé par le média Dugout.
L’occasion pour lui de se confier sur sa vie de famille. Une famille pas si ordinaire puisque composé de nombreux athlètes à l’instar de son père, Yannick Noah.
Joakim Noah sans filtre sur son père
Joakim Noah a grandi dans une famille de sportif. C’est sans aucun doute cela qui explique sa magnifique carrière en NCAA puis en NBA. En effet, le fils de Yannick Noah a été l’un des rares Français a intégré cette célèbre ligue avec Tony Parker ou encore plus récemment Victor Wembanyama.
Devenu ambassadeur de la NBA, il fait actuellement le tour du monde dans le but d’en faire la promotion à travers le monde. Il y a quelques semaines, il était aux Philippines et durant son déplacement, il a accordé une interview au média local Dugout.
Dans celle-ci, il a partagé ce que l’influence de son père, Yannick Noah, lui avait apporté, mais aussi comment ce nom prestigieux avait parfois été un fardeau.
Cash sur sa carrière
Face au journaliste, Joakim Noah a déclaré : « Je suis la troisième génération d’athlète dans ma famille, et c’est autant une bénédiction qu’une malédiction à bien des égards. Je suis plus vieux maintenant, ma carrière est derrière moi, mais je sais qu’être dans l’ombre de son père est quelque chose de très difficile à vivre. Je pense que c’est la raison pour laquelle j’ai adopté mon style de jeu sur le terrain. Je voulais être ma propre personne« .
Une vie de sportif qui n’a pas été de tout repos. En effet, le joueur de basket a ensuite déclaré que c’était beaucoup d’implication personnelle, pour preuve, son père n’était pas souvent là quand il était petit.
« J’ai pu voir les sacrifices quotidiens. Mon père n’était pas avec nous tous les jours par exemple. Et puis la charge de travail d’un pro, ce n’est pas un truc à prendre pour acquis. Beaucoup de jeunes ne le savent pas. Être un pro ce n’est pas qu’un entraînement intensif dans la journée, c’est aussi ce que tu manges le matin ».