Marc Lavoine : Jean-Jacques Goldman lui a sauvé la vie
Jean-Jacques Goldman a de nombreuses années de carrière derrière lui et il a côtoyé de nombreux artistes durant celle-ci. Parmi eux, Marc Lavoine, à qui il a carrément sauvé la vie.
Jean-Jacques Goldman, un artiste talentueux qui a bercé plusieurs générations
Jean-Jacques Goldman est un mastodonte de la musique française. S’il a sorti son premier album en 1975 avec le groupe Taï Phong, il ne s’est pas arrêté là. Après cela, il a commencé une carrière en solo, avec 11 albums studios et live.
Mais, ce qui a vraiment fait sa renommée, c’est son talent pour l’écriture ainsi que ses titres signatures. Par exemple, les chansons « Quand la musique est bonne« , « Envole-moi », « Au bout de mes rêves », ou encore « Je te donne ».
Auteur talentueux, il a écrit de nombreuses chansons pour les autres, notamment pour Johnny Hallyday, Patrick Fiori, mais aussi Céline Dion dont il est proche.
Il a aussi écrit pour Garou, Florent Pagny, Christophe Willem, sans oublier Lââm, Liane Foly, Calogero, Christophe Deschamps, mais aussi Gérald de Palmas et Marc Lavoine.
Également connu pour sa longue participation aux Restos du Cœur sous la troupe des Enfoirés, et marié avec Nathalie Thu Huong-Lagier, Jean-Jacques Goldman a d’ailleurs grandement contribué au début de la carrière de Marc Lavoine.
Marc Lavoine : une carrière en or à 62 ans
Âgé de 73 ans, Jean-Jacques Goldman est un peu plus âgé que son collègue chanteur. En effet, Marc Lavoine est actuellement âgé de 62 ans. Malgré tout, ce dernier a une longue carrière dans la musique à son actif.
Avec 13 albums studio, l’interprète de « Elle a les yeux revolver », actuellement en couple avec Adriana Karembeu, a d’ailleurs donné une interview récente dans laquelle il décrit sa relation avec Jean-Jacques Goldman.
Ce jour où Goldman est venu en aide à Marc Lavoine
Avec un premier album sorti en 1985, Marc Lavoine a beaucoup appris de son aîné en matière de musique et de scène. Invité chez Nostalgie, ce 24 janvier 2025, Marc Lavoine est revenu sur le début de sa carrière.
Un début de carrière qui n’aurait sans doute pas été le même sans l’intervention de Jean-Jacques Goldman. Et, pour cause, invitée auprès de Jean-Luc Reichmann sur Nostalgie, il a carrément avoué que le chanteur lui avait sauvé la mise, un jour.
« Les Goldman (les frères Jean-Jacques et Robert Goldman, ndlr) sont des gens discrets, mais ils sont très présents dans la vie d’autres chanteurs, d’autres artistes », a déclaré l’artiste sur les ondes.
« Et si je parle d’eux, ce n’est pas parce que j’ai fait des chansons avec eux, non, mais c’est parce que humainement, ils ont été là« , a aussi ajouté le chanteur sur Nostalgie.
Les deux frères étaient vraisemblablement très présents à ses côtés au début de sa carrière dans la musique. D’ailleurs, Marc Lavoine avoue être très reconnaissant pour cela :
« Ils m’ont un peu sauvé la vie quand même. Quand j’ai eu des problèmes avec mon producteur, Jean-Jacques s’en est mêlé », a-t-il assuré chez Nostalgie.
« Il m’a dit : ‘C’est bon, laisse-moi faire, j’appelle mon frère’ ! Et puis là, ils se sont mêlés du truc pour faire un contrat plus adéquat », explique Marc Lavoine à Jean-Luc Reichmann.
Ce jour où Goldman a également sauvé Calogero
Jean-Jacques Goldman, dont nous connaissons déjà les dernières volontés, serait effectivement un homme très gentil dans la sphère privée. C’est en tout cas ce qu’ont rapporté de multiples artistes.
Par exemple, il aurait aussi porté son aide à Calogero lorsqu’il était dans la panade. Pour l’une de ses chansons, Calogero n’a pas hésité une seconde à demander de l’aide à l’artiste de 73 ans. Il savait qu’il pourrait avoir son soutien.
Pour la chanson « C’est dit », Calogero avait du mal à boucler la composition. Il a donc fait appel à Jean-Jacques Goldman. « Jean-Jacques Goldman me demandait : ‘Mais Calo, elle est où l’accroche ?’, et je n’en savais rien. Alors, il me répondait : ‘Eh bien je la cherche, et on va la trouver' », confiait Calogero.
Finalement, les deux hommes l’ont trouvé et ce fut « On n’est riche que de ses amis, c’est dit ». Et, là aussi, c’est l’amitié qui a triomphé. Grâce à la bienveillance du chanteur, Calogero a eu sa chanson. Et, grâce à cette bienveillance, Marc Lavoine a pu avoir un contrat digne de ce nom.