Jean-Jacques Goldman : « C’est de la merde », cette révélation choc sur le passé du chanteur
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En tant qu’artiste, se faire connaître n’est pas une mince affaire. Alors qu’il fait aujourd’hui partie des personnalités préférées des Français, Jean-Jacques Goldman a eu des débuts assez chaotiques. Découvrez le témoignage de son producteur dans la vidéo ci-dessous :
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Les débuts chaotiques de Jean-Jacques Goldman
Avant de devenir la star qu’il est aujourd’hui, Jean-Jacques Goldman a eu un parcours semé d’embûches. C’est ce que dévoile le premier épisode de l’émission « Dans le coeur des Français », diffusée sur C8 ce mercredi 15 septembre. Dans ce premier volume, la présentatrice Carole Rousseau retrace la carrière du chanteur, mais également sa vie privée.
On découvre alors que de nombreuses maisons de disques ont refusé de travailler avec cette future star de manière assez violente. Une terrible erreur ! Le producteur Marc Lumbroso commence à travailler avec Jean-Jacques Goldman après avoir découvert le titre Gros câlin blues d’Anne-Marie Batailler : « La chanson m’a plu […] et je cherchais des compositeurs avec lesquels travailler. J’avais quitté un gros job dans une grosse maison d’édition et j’étais à mon compte ».
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Jean-Jacques Goldman recalé par toutes les maisons de disques !
De là, Jean-Jacques Goldman ne cesse d’écrire des titres afin de faire décoller sa carrière. Malheureusement, les interprètes les refusent tous. Afin de faire découvrir son talent, le producteur lui demande de les chanter, mais les refus s’enchaînent.
Marc Lumbroso se souvient : « Ça a pris un an et demi avant de trouver quelqu’un que ça intéressait. On me disait : ‘Ah non mais des types qui chantent avec la voix aiguë comme ça… Il y a Balavoine déjà, donc il n’y en aura pas un autre !’ J’ai entendu : ‘C’est de la merde’. On m’a foutu dehors en me disant : ‘Casse-toi, c’est de la merde’ ! ». Des débuts difficiles qui ont fini par payer !
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