Jean Imbert accusé de violences conjugales : Les récits glaçants de ses ex-compagnes
Accusé de violences psychologiques, voire physiques par d’anciennes compagnes, Jean Imbert se défend d’être un homme violent.
Des relations marquées par le contrôle et le dénigrement
Des témoignages accablants. Le magazine Elle a récemment sorti une enquête révélant plusieurs relations dysfonctionnelles du chef étoilé Jean Imbert, émaillées par les violences psychologiques et parfois physiques. Quatre femmes s’y confient, mettant en lumière des dynamiques d’emprise et de rabaissement dont l’intéressé se défend en évoquant une réciprocité systématique.
On y retrouve ainsi le témoignage de Zoé [prénom modifié], qui dénonce une volonté de la contrôler. Selon ses dires, Jean Imbert contrôlait ses déplacements, ses fréquentations, ses tenues et même son poids, allant jusqu’à faire une fixette sur celui-ci. Face aux journalistes, l’équipe de communication du chef nie les faits, preuves à l’appui. « Des éléments matériels [qui] attestent de compliments permanents pendant des mois ‘tu es belle’, ‘tu es trop belle’, ‘je te trouve si belle’, ‘tu es sublime’. ‘En vrai c’est moi qui devrais faire un régime’ lui écrit-il également le 24 août alors qu’elle évoque des problèmes de poids ».
Concernant les faits qu’une autre ex, Kelly Santos, qualifie de dysfonctionnements, l’équipe de communication tempère en évoquant des « discussions ». « Il ne s’agit pas de ‘reproches’. Il peut y avoir des discussions au sein d’un couple. Une femme peut dire à son mari qu’elle le préfère en bleu ou en rouge, qu’elle le trouve négligé en jogging ou qu’il a besoin de rafraîchir sa coupe de cheveux. Les échanges auxquels vous faites référence sont de cet acabit et ne contiennent pas la moindre trace d’agressivité », rectifie encore son équipe.
Jean Imbert dénonce le harcèlement d’une des plaignantes
Non contente de balayer les impressions de l’artiste, la communication de l’ami des stars s’appuie sur le dénigrement. Ainsi, quand la jeune femme évoque des « crises de jalousie » excessives, l’équipe du chef suggère, là encore, une réciprocité.
« S’il lui arrive d’exprimer de la jalousie, la réciproque est tout aussi vraie. Ils avancent pour preuve une dizaine de messages envoyés entre février et juillet 2023, dont un vocal émis le 9 juillet 2023, après leur rupture : ‘Apparemment mercredi t’as été vu en train de déjeuner côte à côte avec une meuf avec qui… vous étiez pas en train de vous galoch mais presque… au Meurice. […] Et tu aurais été aussi vu avec une femme blonde tout à fait récemment. Heu… Tu as repris le dating game, sérieux ? Enfin… Juste pour que je sache, que moi je sois pas là… genre… en PLS à m’excuser toute la journée comme une grosse merde alors que j’ai rien fait. Alors que toi tu es en train de déjeuner avec des meufs au Meurice, sérieux, Jean », détaille-t-elle.
L’équipe met également l’accent sur le comportement Kelly Santos après leur séparation, qu’elle qualifie de « harcèlement ». Celle-ci aurait en effet envoyé 20 lettres d’amour sur le lieu de travail de Jean Imbert (25 autres auraient été détruites par son équipe). Elle décompte par ailleurs 80 messages envoyés entre juillet et décembre 2023. Or, la jeune femme a toujours reconnu avoir eu des sentiments pour le chef, même plusieurs mois après leur séparation.
Quatre anciennes compagnes appelées à la rescousse
En 2013, Jean Imbert entretient une relation avec l’actrice Lila Salet. Témoignant à visage découvert, celle-ci se souvient d’un épisode particulièrement violent au cours duquel son compagnon de l’époque l’avait insulté et détruit sa porte. Épisode qui sera suivi d’une plainte classée sans suite. Questionnée à ce sujet, l’équipe du chef précise que Lila Salet avait retiré sa plainte avant de se remettre en couple avec Jean Imbert. De plus, elle nie toute insulte proférée à l’encontre de l’actrice.
Pour finir, c’est une certaine Éléonore qui témoigne de violences physiques. Au cours de leur relation, qui remonte à plus de dix ans, le chef lui aurait asséné un coup de tête qui lui a cassé le nez. Un geste qu’il lui est impossible de nier, mais que son équipe parvient tout de même à justifier. « Cette scène intervient dans un moment de violences subies par Jean Imbert, alors qu’il était empoigné par Éléonore, et qu’il s’en dégageait. Il en regrette profondément les conséquences pour elle », explique-t-elle.
« Cette relation d’il y a plus de 10 ans était insoutenable, marquée par les insultes et les crises », ajoute-t-elle, révélant plusieurs SMS que la jeune femme aurait envoyé à Jean Imbert à l’époque. « Je te gerbe », « t’es sale », « grosse merde de suceur », « t’es la plus grosse merde du siècle », « tu seras jamais heureux », « t’es nul en tout », « à part des coups ou de l’indifférence j’ai rien à te donner », aurait-elle envoyé.
Pour appuyer sa défense, Jean Imbert a notamment sollicité quatre anciennes compagnes qui évoquent des histoires épanouissantes et harmonieuses, basées sur le respect, la confiance et le soutien mutuel.