« Je resterai toute ma vie un pauvre » : Jamel Debbouze fait une étonnante déclaration sur sa vie privée
Jamel Debbouze fait partie intégrante des humoristes français. Une belle carrière qui dure depuis plus d’une vingtaine d’années maintenant et à laquelle s’est intéressée l’émission Sept à Huit. Le compagnon de Mélissa Theuriau s’est confié sans fard sur sa vie privée durant un portrait qui lui était consacré et a fait une drôle de confidence…
Jamel Debbouze, l’humoriste qui séduit les Français
Il est sans aucun doute l’un des humoristes les plus drôles de sa génération. Jamel Debbouze s’est fait connaître du grand public il y a une vingtaine d’années maintenant avec ses sketchs toujours plus loufoques, notamment avec Gad Elmaleh.
Fervent défenseur de l’humour en France, il a même lancé le Jamel Comedy Club il y a plus de 15 ans maintenant. Une scène ouverte qui permet aux nouveaux talents de demain de se faire connaître et caresser l’espoir d’avoir la même carrière que leur mentor. Et cela fonctionne. De cette très belle école sont sortis de grands noms comme Thomas Ngijol, Alban Ivanov, Blanche Gardin ou encore Malik Bentalha.
« Je resterais toute ma vie un pauvre »
Une véritable consécration pour celui qui a commencé avec rien. En effet, Jamel Debbouze vient d’une famille extrêmement modeste. Un joli parcours qu’il a accepté de confier dans le portrait qui lui était consacré dans Sept à Huit dans l’émission du 3 juillet 2022.
« Je vous rassure, on a toujours mangé à notre faim. Mais il arrivait que parfois, il n’y ait pas ce qu’il faut dans le frigo, et donc ma mère criait « Ramadan surprise », et on était au diapason, on savait que ça allait être chaud aujourd’hui. C’était très très marrant, mais ramené d’une manière tellement drôle, tellement gracieuse, que tout passait » commence par avouer le père de famille. Malgré sa réussite, il n’oublie pas d’où il vient et sait que tout peut s’arrêter à n’importe quel moment : « C’est très enrichissant de voyager dans les classes sociales. Je resterai toute ma vie un pauvre, j’aurai tout le temps le syndrome de l’huissier, tout le temps peur que ça s’arrête, et de me retrouver dans un ascenseur qui pue la pisse. »