Gros malaise : Jair Bolsonaro confond un nain avec un enfant et le prend sur ses épaules (Vidéo)
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Durant un déplacement officiel, le président du Brésil a fait très mauvaise impression. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous, Jair Bolsonaro porte un nain sur ses épaules en pensant qu’il s’agit d’un enfant. La vidéo provoque une vive réaction sur les réseaux sociaux.
Jair Bolsonaro porte un nain sur ses épaules en pensant qu’il s’agit d’un enfant
Gros malaise pour le président Jair Bolsonaro. Entre une confusion irrespectueuse, le non-respect des gestes barrières et son absence d’excuses, rien ne va dans cette vidéo que vous pouvez voir ci-dessus.
La séquence a été tournée alors que le président brésilien était en déplacement dans une usine à Aracaju, à l’extrême Est du pays, le lundi 17 août. Jair Bolsonaro apparaît au milieu d’un groupe composé d’une trentaine de personnes.
Alors positif au Covid-19, le président ne porte pas de masque et prend un bain de foule. Cette scène surréaliste ne s’améliore pas par la suite. En effet, le président saisit un homme au masque rouge, qui n’est pas mécontent d’être porté par l’homme politique. Toutefois, une voix féminine vient demander s’il s’agit d’un enfant. Le président va alors jeter un coup d’oeil au visage qui se tient sur ses épaules. Lorsqu’il se rend compte de son erreur, il relâche la personne de petite taille avant de quitter les lieux précipitamment.
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Une vidéo qui provoque un tumulte sur les réseaux sociaux
En seulement 48 heures, la vidéo a été visionnée plus de 2,3 millions de fois. Dans les commentaires, Jair Bolsonaro est critiqué pour diverses raisons. En effet, le président du Brésil est autant attaqué pour son manque de discernement que pour le non-respect des distanciations sociales.
D’autant plus que le président d’extrême droite minimise la dangerosité du coronavirus depuis le début de la pandémie. Il qualifiait même le coronavirus de « petite grippe ».
Pourtant, un étonnant sondage a été publié le 15 août par le journal Folha de Sao Paulo. Selon lui, presque la moitié des Brésiliens estiment que le président n’est pas responsable des plus de 100 000 décès causés dans son pays.
