Quand Jacques Chirac et Johnny Hallyday échangeaient de mystérieuses lettres !
Les révélations s’enchaînent autour de la personnalité de Jacques Chirac. C’est ainsi que dernièrement, nombreux sont ceux dont la langue s’est déliée. Et plus particulièrement, le journaliste Saïd Mahrane qui raconte une anecdote surprenante à son sujet. Dans son livre C’était Chirac, il raconte que le président de la République aurait adressé une mystérieuse lettre de soutien à Johnny Hallyday alors que ce dernier était déjà très malade.
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Jacques Chirac : les révélations
Avec la mort de Jacques Chirac, c’est toute une génération qui est endeuillée. Il faut dire que c’était un président aimé par beaucoup de Français. Et depuis son départ le 26 septembre dernier, beaucoup sont ceux à avoir fait des révélations sur l’ancien chef de l’État. C’est ainsi qu’évidemment, son passé de coureur de jupons le rattrape mais également, son côté attentionné et entier.
D’ailleurs, il est souvent dépeint comme quelqu’un de proche et d’attentionné. Et dans ce registre, le journaliste Saïd Mahrane, rédacteur en chef du magazine Le Point, livre une confession étonnante. C’est ainsi que dans son livre C’était Chirac, nous en apprenons encore un peu plus sur l’ancien président de la République et notamment sur sa relation avec Johnny Hallyday.
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Un président fan de Johnny Hallyday
Nous sommes en 2011 et à cette époque, Johnny Hallyday doit être opéré à la hanche. Il montre déjà des signes inquiétants au niveau de sa santé et doit donc être immobilisé pendant plusieurs semaines. Et c’est tout naturellement que Jacques Chirac a voulu témoigner de son soutien. Ainsi, il lui adresse une mystérieuse lettre dont nous ne connaissons absolument pas le contenu. « Dès lors qu’il savait l’un des siens frappé par la maladie, ou en proie à un drame personnel, il se faisait un devoir d’être présent, d’agir, de décrocher son téléphone et de prier ses dieux. »
Mais le fait est que, bizarrement, l’idole des jeunes retrouve toute sa forme physique seulement quelques mois après ! Mais comme le rappelle le journalisten Saïd Mahrane, « Il n’était pas du genre à râler, à se plaindre ou à maudire la douleur. »