« Elles sont aussi laides que moi ! » : Bernadette Chirac balance sur les maitresses de son défunt mari
Ce dimanche 15 mai, Catherine Nay était invitée dans l’émission La Table du dimanche sur Europe 1. La journaliste politique est revenue sur une conversation qu’elle avait eue avec Bernadette Chirac, à propos des infidélités de son mari, Jacques Chirac.
Depuis la disparition de Jacques Chirac, Bernadette Chirac n’est plus présente sur la scène médiatique. Mais certains de ses proches continuent de donner des nouvelles de l’ancienne Première dame. Comme le 12 mai dernier, où son ami, Henry-Jean Servat, donnait des nouvelles de son état de santé. « Elle était fatiguée. Je pense qu’elle ne se montrera plus, elle ne fera plus d’interviews » , a déclaré le journaliste sur Non Stop People.
Sa fille, Claudine Chirac, s’est voulue rassurante chez nos confrères de La Montagne : « Les choses sont paisibles. Elle va le mieux possible » .
Jacques Chirac décrit comme un homme très volatile par Bernadette
Mais ses amis et sa famille ne partagent pas que l’état de santé de Bernadette Chirac. Ce 15 mai, l’invitée de Laurent Mariotte, sur Europe 1 était Catherine Nay. La journaliste et chroniqueuse en a profité pour parler à son tour de Bernadette Chirac. Elle est revenue sur la longue histoire d’amour entre Bernadette et Jacques Chirac.
Tout le long de ce mariage, Bernadette Chirac n’ignore pas que son mari à une double vie. Catherine Nay dresse le portrait du couple emblématique. « Elle avait un caractère difficile, mais lui, c’était un mari très volage, dont elle s’est beaucoup plainte. Elle le disait un peu coureur, avec des liaisons » .
La journaliste poursuit en avouant avoir déjà eu une discussion avec Bernadette Chirac à ce sujet. « Elle m’avait dit un jour, parce que je la rencontrais chez le coiffeur : Jacques m’a beaucoup trompée, je les connais toutes, mais il n’y en a que trois à qui j’en veux. Et vous savez ce qui me fait plaisir aujourd’hui ? C’est que je les vois, elles sont aussi laides que moi ! » .
Même si elle rigolait de la situation, elle a aussi « beaucoup souffert » , a avoué Catherine Nay.