Gims s’excuse sur sa vidéo polémique et annonce redemander la nationalité française
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Maître Gims a annoncé désirer redemander la nationalité française qui lui avait été refusée il y a quelque temps. « Je ne suis pas du genre à baisser les bras », a-t-il avoué au Journal « du Dimanche ».
Image Sept à huit
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Gims annonce redemander la nationalité française
Trois semaines après sa vidéo polémique où il demandait à ses abonnés d’arrêter de lui souhaiter la bonne année pour raison religieuse, Gims a annoncé « la regretter totalement » à nos confrères du JDD ce dimanche. « Je ne communique pas comme ça habituellement. » Le chanteur affirme également ne pas avoir voulu blesser des gens. « La foi, ça relève de l’intime. »
Maître Gims affirme également que cette vidéo a été faite avec spontanéité, tard le soir alors qu’il venait tout juste de regarder beaucoup de snaps à l’occasion du Nouvel An. Et qu’il était tout simplement en train de « faire le con. » Le rappeur assure d’ailleurs avoir eu très peur que son image soit récupérée à l’occasion de l’élection présidentielle : « Oui, ça m’a fait peur. Je n’arrivais pas à dormir. »
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« Tous mes souvenirs sont en France »
Le rappeur est né Gandhi Djuna en 1986 à Kinshasa. Il est arrivé sur le territoire Français dès l’âge de deux ans. Ses parents fuyaient à l’époque le Zaïre gouverné par le président Mobutu Sese Seko.
Gims assure que son plus grand regret est de ne pas être Français. D’autant plus que tous ses souvenirs sont en France… Lorsqu’il voyage à travers le monde, il se présente d’ailleurs comme un artiste français. Et jamais en tant que congolais… Mais le papier officiel lui a été refusé il y a quelques années. Le refus serait, d’après lui, lié à un délit commis quand il était mineur. Mais le rappeur assure néanmoins que son casier est vierge.
Pourtant, Le Parisien présente une tout autre version. En effet, selon nos confrères sa première demande de naturalisation a été déposée en 2013, mais il s’avère que la procédure s’est rapidement enlisée. Comme l’affirme un ancien ministre de l’Intérieur interrogé par le journal, le refus a eu lieu en 2017. Il serait dû au non-paiement d’amendes pour des délits routiers. Mais aussi au fait que le chanteur réside une bonne partie de l’année à Marrakech et n’établit ainsi pas en France le centre de ses intérêts matériels.
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