Françoise Hardy : Comment se sont déroulés ses derniers instants ?
Françoise Hardy nous a quittés. Une nouvelle qui n’a pas manqué d’ébranler le monde de la musique et les fans de musique française des années 1960-1970. Si la femme de Jacques Dutronc se faisait très discrète ces dernières années, Paris Match a réussi à retracer ses derniers instants.
Françoise Hardy, touchée par deux cancers
À 80 ans, Françoise Hardy a tiré sa révérence. Si elle était malade depuis plusieurs années déjà, la nouvelle a fait l’effet d’une bombe. Immédiatement, les messages d’hommages fusent et les personnalités issues du monde de la musique prennent la parole. Jamais elles n’oublieront la chanteuse.
Si elle a pris soin de se faire discrète ces dernières années, les derniers instants de Françoise Hardy ont été portés à notre connaissance. Et c’est Paris Match qui a réussi à en savoir davantage. Dans ses colonnes, l’hebdomadaire indique qu’elle s’est éteinte à l’hôpital américain de Neuilly-sur-Seine. « Là où elle a subi 55 chimiothérapies depuis 2015 », précise-t-il.
Il rappelle également que la chanteuse souffrait de deux cancers : un cancer du système lymphatique, détecté en 2004, et un cancer du pharynx depuis 2019.
Son ex-conjoint et mari ont passé les derniers jours à son chevet
On apprend également que, depuis plusieurs mois, elle éprouvait des difficultés à « marcher seule ». « Elle ne se déplace qu’en fauteuil roulant pour se rendre à ses rendez-vous médicaux et elle a perdu 20 kilos« , peut-on lire, toujours dans les colonnes de Paris Match.
Et ce n’est pas fini. En plus d’être grandement affaiblie, Françoise Hardy avait des difficultés à s’alimenter. Ce qui lui a valu d’être transférée à l’hôpital. Ses proches racontent qu’elle a été très déçue « de voir son lit japonais qu’elle aimait tant être remplacé par un lit médicalisé ».
Elle a passé les jours précédents sa mort en compagnie de son fils, Thomas Dutronc. Mais alors que la maladie gagne du terrain, Jacques Dutronc quitte sa Corse adorée et passe de longs moments en sa compagnie. « Chaque jour, pendant une semaine, cachant son regard embué derrière ses lunettes fumées, il s’assoit à côté d’elle ». Reconnaissante, sa femme lui aurait adressé un dernier sourire en guise d’adieux.