Franck Dubosc au bord des larmes s’explique face aux Gilets Jaunes sur TPMP
Franck Dubosc au bord des larmes. Suite à une vidéo polémique où il décrète retirer son soutien aux Gilets Jaunes, l’humoriste s’explique sur le plateau de TPMP.
Franck Dubosc au bord des larmes sur le plateau de TPMP
Au commencement, Franck Dubosc soutenait le mouvement des Gilets Jaunes. Il avait même publié une vidéo sur son compte Facebook en soutien aux manifestants. Mais 2 semaines plus tard, il revient sur sa décision et déclare d’un ton très sec : « Vous êtes trop haineux, trop hargneux. À dégager. » Ni une, ni deux, c’est la polémique et l’appel au boycott de tous ses spectacles !
Très affecté par la réaction du public, Franck Dubosc se dit « dévasté par ce qui s’est passé. » Alors, il se rend sur le plateau de TPMP pour expliquer son geste.
« Je ne parle jamais de politique, je suis un clown (…) Ma maman gagne moins que certains d’entre vous, elle a une chance c’est d’avoir un fils qui est un hyper-privilégié. »
« Elle nous regarde, elle doit se dire : ‘Mais mon pauvre fils, que fais tu ?’. Quand j’ai soutenu, quand j’ai fait cette première vidéo, j’étais ému, j’étais tout seul dans ma chambre, j’ai tout de suite appelé Cyril je lui ai dit ‘il faut faire quelque chose c’est pas possible’, y a ma mère, y a ma soeur et puis y a mon public »
« J’ai fait une erreur, c’est l’erreur d’un homme qui a eu peur ».
Franck Dubosc rejoint la banque du coeur
Lorsque Cyril Hanouna propose de créer une banque du coeur pour aider les personnes en difficultés, Franck Dubosc est le premier à avoir répondu à l’appel. « Je suis dans la banque du coeur, je suis le premier, j’ai dit bien-sûr Cyril. » Et il continue :
« Mon père est mort au chômage (…) Vous ne supplanterez jamais la différence que j’ai eue avec mon père, c’est l’homme que j’aimais le plus au monde (…) Quand cette différence est arrivée, on ne l’a pas supportée, il est mort sans que je puisse lui dire je t’aime ». « J’ai été différent de mon père et c’est mon plus grand malheur », termine-t-il, dévasté.