Florence Foresti choque avec ses propos sur les hommes
Florence Foresti était présente sur le plateau de C à vous ce mercredi 27 mars 2024 à l’occasion de la diffusion sur Canal+ de son nouveau spectacle Boys, boys, boys à partir de ce vendredi 29 mars 2024.
Un spectacle dans lequel elle rend hommage aux hommes, à l’heure où les féministes ne cessent de s’allier contre eux. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ses propos ont choqué.
Florence Foresti, une humoriste que l’on ne présente plus
Depuis plusieurs années, Florence Foresti fait partie intégrante des humoristes françaises. Elle s’est fait connaître du grand public avec des spectacles à mourir de rire avec notamment son cultissime sketch sur l’avion de Barbie.
Et ce vendredi 29 mars 2024, elle sera une nouvelle fois mise à l’honneur puisque Canal+ va diffuser son nouveau spectacle Boys, Boys, Boys. Un spectacle hommage aux hommes comme elle l’a confié sur le plateau de C à Vous ce mercredi 27 mars 2024.
« Ce n’est pas un hommage au tube de Sabrina », a commencé par souligner Anne-Elisabeth Lemoine. « C’est un formidable spectacle qui, sans éluder la vague MeToo, est une déclaration d’amour aux hommes… une déclaration lucide d’une rare justesse sur les rapports entre les hommes et les femmes qu’il s’agit d’apaiser ».
Ses propos cash sur la gent masculine
Mais dans la suite de l’entretien, Florence Foresti a ensuite eu des propos cash sur les hommes. Selon elle, ses relations amoureuses n’ont pas toujours été de tout repos et elle ne s’est pas toujours montrée tendre avec les hommes qui ont partagé sa vie.
« Après avoir fait mon examen de conscience, je me suis rendu compte que tous les hommes qui ont partagé ma vie ont été un peu forcés de le faire. Je me suis rendu compte que finalement j’exerçais, si on inversait, ce qui peut ressembler à du harcèlement. Je rigole bien sûr, mais je ne demande pas la permission. J’embrasse par surprise sinon il ne se passe rien dans ma vie. Je suis obligée ».
Elle explique ensuite qu’elle a été à plusieurs reprises « obligée de forcer le truc » et d’utiliser parfois « la contrainte ». « J’ai l’impression qu’à 50 ans, la femme devient elle-même, elle se libère un peu, peut-être de toutes ces injonctions qu’on subit jusqu’à cet âge-là. » Des confidences d’une rare honnêteté.