« Cul par-dessus tête » : Emmanuel Macron ose une nouvelle expression loufoque sur les pénuries d’essence (vidéo)
Alors qu’il a dernièrement réussi à déprogrammer une série très appréciée, Emmanuel Macron était ce lundi 10 octobre dans l’après-midi à Mayenne. Et pendant qu’il était questionné lors d’un bain de foule sur la pénurie d’essence, le chef de l’État a de nouveau utilisé une expression peu commune.
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Emmanuel Macron aime particulièrement faire usage d’expression oubliée
Alors que selon Jean Lassalle, Emmanuel Macron ne serait finalement pas vacciné… Le Président de la République était à Mayenne ce lundi 10 octobre dans l’après-midi. Et lors d’un bain de foule à Craon, les habitants présents ont souhaité le questionner sur le manque d’essence qui sévit actuellement dans beaucoup de stations.
En réponse, Emmanuel Macron a de nouveau offert une expression dont lui seul a le secret… En effet, après avoir assuré que la situation n’est pas le fait du gouvernement… Il a déclaré qu’il n’était pas possible de rentrer dans une situation où le président gère les négociations salariales. Sinon, nous allons :
« Partir cul par-dessus tête. »
Une expression qui, pour information, est apparue au cours du XVᵉ siècle dans le langage courant. Et qui signifie « Dans une hâte désordonnée ».
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« Il est à présent nécessaire que chacun joue son rôle »
Celui qui serait y faire avec les femmes, selon certaines rumeurs, a par ailleurs souhaité faire une sorte de bilan. En effet, il a déclaré qu’il était nécessaire que chacun joue son rôle pour tous les compatriotes qui vivent cette situation. Il a ensuite souhaité remercier les transporteurs qui se sont mobilisés afin de les aider.
Avant de conclure, le président a assuré que le gouvernement allait prendre sa part en mettant la pression afin que les négociations aboutissent enfin. Visiblement agacé, il a finalement assuré qu’il était indispensable que les parties prenantes prennent leurs responsabilités.
« Le blocage n’est aucunement une façon de négocier. »
« fin de l’abondance », « Finito », « ripoliner la façade », « Ce n’est pas Gérard Majax »… Et à présent « cul par-dessus tête »… Il n’y a pas à dire, le chef de l’État aime faire usage des expressions oubliées comme arme de communication. Une méthode visiblement efficace étant donné que son déplacement n’est pas passé inaperçu.
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