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Emmanuel Macron : ce fantôme du passé qui refait surface aujourd’hui…

Publié par Claire JONNIER le 20 Avr 2019 à 17:28
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À l’occasion de la clôture du Grand débat national, un psychanalyste a essayé de décrypter la personnalité complexe d’Emmanuel Macron. Et ce qu’il en ressort, c’est que le chef de l’État a désespérément besoin de plaire et d’être aimé.

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Emmanuel Macron : sa tentative de réconciliation

Depuis le début du mouvement des Gilets Jaunes, Emmanuel Macron n’a jamais été aussi impopulaire. Sévèrement critiqué, il a donc trouvé la mise en place d’un Grand débat national pour tenter de renouer le dialogue. Une réconciliation avec les Français mais également avec lui-même puisque selon le psychanalyste Michel Schneider, le chef de l’État aurait quelques failles narcissiques à traiter.

« Apparemment mal aimé dans sa famille, il a souffert d’un rejet de la part de la bonne société locale (à Amiens) en raison de sa liaison scandaleuse avec celle qui est devenue sa femme. Ce besoin absolu de séduire par la parole et cet appel répété à la reconnaissance révèlent, sinon une faille narcissique, du moins une fragilité. »

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Emmanuel Macron : ce que cache Jupiter

A seulement 41 ans, Emmanuel Macron devient le plus jeune président de l’État français. Souvent comparé à Napoléon pour sa force dite jupitérienne, il abat une masse de travail extraordinaire et se rend sur tous les fronts. D’ailleurs, récemment, ses proches ont tiré la sonnette d’alarme car il s’inquiète énormément de l’état de santé du président. Car au fond, cela cache « un besoin absolu de séduire ».

A priori, Michel Schneider explique : « il a très mal vécu d’être détesté et surtout de ne pas être reconnu pour ses mérites ». D’autant que selon lui, la mise en place du Grand débat national serait plutôt une forme d’appel au secours du chef de l’État. « C’est une sorte de psychanalyste qui dirait à son patient “Je vous écoute” en pensant “écoutez-moi” (…) Monopoliser la parole pendant quatre-vingt-douze-heures n’est pas un signe de force mais de faiblesse.»

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