Emilie Nef Naf accusée d’avoir volé des photos pour vendre des produits anti-vergetures (vidéo)
L’ancienne candidate de télé-réalité, Emilie Nef-Naf est pointée du doigt par une autre influence, nommée Kimjlewin. Selon cette dernière, Emilie aurait fait de la pub de l’une de ses marques, en utilisant une photo qui ne lui appartient pas.
Emilie Nef Naf aurait volé des photos ?
La photo a été postée sur le compte Instagram ‘Le secret by Emilie Nef-Naf’ : elle laisse peu de doute. Cette photo montre « son » ventre avec des vergetures, avec pour légende des mots inspirants pour accepter fièrement ces marques qui « racontent une histoire, une expérience, un vécu » .
Quelque temps après la publication, la promotion de sa marque est faite : des gélules minceur et anti-vergetures. Emilie Nef-Naf a reposté la photo avant de la supprimer très rapidement, tout comme le compte de sa marque.
Le message montre une certaine antithèse : « accepter ses marques » – qui sont des vergetures, ici, en l’occurrence – et faire une promotion de produit qui consiste à faire disparaître ces dernières ? Là n’est pas le problème principal. Kimjlewin est une influenceuse bodypositive : elle s’est indignée ce dimanche 12 septembre. La photo qu’Emilie Nef-Naf a publiée était une photo qui avait été postée sur son compte, en août 2020. Selon elle, Emilie ne l’a pas averti.
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« Qu’on utilise mes photos pour promouvoir la diet culture, y a un problème »
Révoltée, Kimjlewin a donc fait part de ce problème à sa communauté de 41 000 personnes dans des stories. Elle poursuit en identifiant l’ancienne candidate de Secret Story et sa marque : « Emilie Nef-Naf a créé une marque où elle vend des produits anti-vergetures et elle utilise ma photo pour vendre ses produits. Je suis choquée en fait, on vit dans quel monde ? C’est très grave ce qui se passe (…) Déjà utiliser ma photo, c’est grave mais en plus pour vendre des produits anti-vergetures, que je ne cautionne pas du tout, c’est dramatique. Je suis très choquée. Parce que moi, je lutte à longueur de journée contre la diet culture » , affirme-t-elle à travers ses vidéos éphémères.
La jeune femme s’intéresse aux suites judiciaires éventuelles afin de rendre justice à cette publication illégale – qui est un délit -. Petit rappel : Publier la photo ou la vidéo sans l’accord de la personne est sanctionnée d’un an emprisonnement et de 15 000 € d’amende.
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