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Drogue et rébellion : le père de Léa Salamé cash sur sa fille !

Publié par FJ le 17 Avr 2022 à 5:51

Léa Salamé ne cesse de faire parler d’elle. La journaliste emblématique du service public a pourtant eu un passé des plus sulfureux que les gens ont tendance à oublier. C’est en tout cas ce qu’a confié son père dans les colonnes de Libération en 2014.

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Léa Salamé, journaliste phare de France 2

Depuis plusieurs jours maintenant, Léa Salamé ne cesse de faire parler d’elle. Et pour cause, dimanche 24 avril 2022 aura lieu le second tour de l’élection présidentielle et pour tenter de départager les deux candidats, Emmanuel Macron et Marine Le Pen, un débat d’entre-deux-tours est organisé mercredi 20 avril 2022. 

Et les différentes chaînes sont en train de s’organiser avec les partis politiques pour que tout se passe du mieux possible. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce dernier ne cesse de faire parler. En effet, Marine Le Pen a fait savoir qu’elle refusait de débattre avec Anne-Sophie Lapix. Une décision que la chaîne France 2 a écouté. C’est finalement Léa Salamé qui a été choisie aux côtés de Gilles Bouleau pour ce grand débat. 

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Un passé sulfureux

Une décision justifiée dans les colonnes du Figaro par Laurent Guimier, le directeur de l’information de France Télévision : « Il m’a paru naturel de proposer ce rôle à Léa Salamé, incarnation de l’interview politique par excellence dans le service public et qui a mené à mes côtés l’émission Élysée 2022 pendant toute la campagne du premier tour. »

L’occasion de revenir sur cette belle carrière, mais aussi son passé sulfureux ! En effet, le père de Léa Salamé avait accordé une interview à Libération en 2014 et il n’avait pas hésité à raconter les frasques de sa fille : « Léa m’a donné du fil à retordre. Elle était rebelle, voulait une moto, faire de la télé. Moi, je voulais qu’elle réussisse à l’école et qu’elle ne prenne pas de drogue » confiait-il. « Pour le reste, le contrôle n’était pas mon truc. Je lui fais confiance. Mieux vaut avoir une période difficile à l’adolescence. Redevenir adolescent à 40 ans, c’est terrible. Ce n’est pas esthétique ». 

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