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« Normalement, je suis morte » : Diam’s sort enfin du silence 12 ans après la fin de sa carrière

Publié par FJ le 27 Mai 2022 à 15:00
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Les fans de Diam’s sont aux anges. La rappeuse phare des années 2000 est enfin de retour après presque 10 ans d’absence avec un documentaire Salam qui sera présenté à Cannes. À cette occasion, elle a accepté de donner une rare interview au magazine Brut et a fait de rares confidences sur son rapport à l’Islam et sa conversion. Découvrez la séquence dans la vidéo ci-dessous : 

La vidéo du jour

Diam’s fait son grand retour

C’est un moment que les fans de Diam’s attendent avec impatience et ce, depuis plusieurs années maintenant. Et pour cause, la chanteuse a fait les belles heures des années 2000 avec des titres phares comme Boulette, Jeune demoiselle recherche un mec mortel ou encore Marine.

Mais après ce succès, elle s’est subitement retirée de la vie médiatique et s’est convertie à l’Islam. Pendant de longues années, Diam’s ne s’est plus jamais confiée et n’a donné aucune interview, laissant ses fans au plus mal. Mais ce mois de mai signe le grand retour de la chanteuse. Elle présente un documentaire inédit, Salam au festival de Cannes. À cette occasion, elle a accepté de se confier dans une rare interview pour le magazine Brut face à Augustin Trapenard.

« Normalement, je suis morte »

Diam’s a accepté de revenir sur sa conversion à l’Islam qui lui a visiblement sauvé la vie : « Je ne renie pas mon passé (de chanteuse NDLR) car c’est ce qui fait ce que je suis aujourd’hui. Mais c’est clair que je suis une miraculée » commence-t-elle par avouer.

Elle poursuit ensuite en racontant qu’elle a trouvé « la paix grâce à ce cheminement intérieur ». « Moi, normalement, je suis morte. Si j’étais restée comme ça à cette époque… Quand je raconte que j’ai voulu mettre fin à mes jours (dans le documentaire Salam, NDLR), c’est ce que j’ai voulu faire […] A ce moment-là de ma vie, je me dis que ma mort est préférable à ce que je vis. Je ne vis plus avec le regard des gens. C’est pas mon souci. Ce qui compte, c’est que je suis en paix avec moi-même ». 

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