Guillaume Canet et Gilles Lellouche se lancent dans… le porno !
C’est bien connu, entre potes en fait les 400 coups. Alors quand ces deux acteurs et amis se réunissent une nouvelle fois sur le tournage de Cédric Anger, c’est pour se lancer dans la production d’un film porno.
Guillaume Canet et Gilles Lellouche se lancent dans le porno
À l’écran comme la vie, c’est deux-là sont inséparables. On se souvient des films les Infidèles, Mon idole et de Rock ‘n’ Roll. Et dernièrement, ils viennent de terminer la suite des Petits Mouchoirs. Une nouvelle fois réalisé par Guillaume Canet, le tournage de Nous finirons ensemble prend fin le 30 mai dernier.
Et c’est non sans émotion que l’acteur avait publié sur instagram le commentaire suivant : « Après un an et demi d’écriture, 9 semaines de tournage… À présent 7 mois de montage m’attendent… Grosse fatigue, gros coup de blues de vous quitter… Mais tellement heureux de tout ce que nous avons fait ». Ils s’entendent donc à merveille professionnellement parlant et c’est justement pour cette raison que Cédric Anger décide de faire appel à eux pour un film sur le porno.
Un film porno pour des acteurs très connus
Alors évidemment, la première réflexion qui nous vient à l’esprit c’est : « Mais, acteurs porno ? » Et au risque de vous décevoir, nous ne verrons pas Gilles Lellouche ou encore Guillaume Canet dans leur plus simple appareil. Non, selon le synopsis, voici ce qui nous attend dans le nouveau film de Cédric Anger, » L’amour est une fête ».
« Paris, 1982. Patrons d’un peep show, Le Mirodrome, criblés de dettes, Franck et Serge ont l’idée de produire des petits films pornographiques avec leurs danseuses pour relancer leur établissement. Le succès est au rendez-vous et ne tarde pas à attirer l’attention de leurs concurrents. Un soir, des hommes cagoulés détruisent le Mirodrome. Ruinés, Franck et Serge sont contraints de faire affaire avec leurs rivaux. Mais ce que ces derniers ignorent, c’est que nos deux « entrepreneurs » sont des enquêteurs chargés de procéder à un coup de filet dans le business du « X » parisien. C’est le début d’une aventure dans le cinéma pornographique du début des années quatre-vingt qui va les entraîner loin. Très loin… »