« On bousille la vie des gens » : Jérémy Ferrari s’emporte contre Christophe Castaner dans « On est en direct » (vidéo)
Ce samedi 18 décembre, Christophe Castaner était invité à débattre sur le plateau d’On est en direct. Pour l’occasion, il s’est attiré les foudres de Jérémy Ferrari ! En effet, l’humoriste n’a pas hésité à lui dire ce qu’il pensait sur la gestion de la crise Covid. Découvrez cette séquence dans la vidéo ci-dessous :
Christophe Castaner s’attire les foudres de Jérémy Ferrari
Sur le plateau de « On est en direct » ce 18 décembre, Christophe Castaner était invité à débattre devant un parterre d’invités. Parmi ceux-ci était présent l’humoriste Jérémy Ferrari qui a souhaité échanger très sérieusement avec lui. Il a notamment évoqué les mesures adoptées par le gouvernement pour canaliser l’épidémie de la Covid-19. « Le réel est violent pour l’ensemble des Français, on bousille leur vie. Vous avez réussi à démotiver de véritables passionnés », s’est-il agacé face aux trop nombreuses restrictions mises en place par l’Élysée.
Jérémy Ferrari continue et ne se démonte pas face à Christophe Castaner ! Burn-out de la population, mal-être de la nouvelle génération, véritable surmenage du personnel hospitalier… Un véritable plaidoyer ! Mais pour Christophe Castaner, ses propos sont démesurés ! « Le mal n’est pas nouveau et je trouve votre constat beaucoup trop dramatique. Je suis plutôt partisan de la nuance. […] Votre réquisitoire est d’une trop grande brutalité. » Mais Jérémy Ferrari n’en démord pas : « Je pense qu‘il est en phase avec la réalité de la violence que vivent les gens chaque jour. »
>> À lire aussi : Covid-19 : la nouvelle décision radicale d’Emmanuel Macron qui vient de tomber
>> À lire aussi : Disparition d’un célèbre sportif du Covid-19 à seulement 41 ans
Un paradoxe permanent
Depuis le début de la crise Covid, Christophe Castaner est très souvent invité à débattre sur la gestion gouvernementale de la crise sanitaire. En juillet dernier, il était notamment présent sur le plateau de BFMTV pour répondre à ses détracteurs.« Nous sommes dans un paradoxe permanent, […] nous assumons notre décision », avait-il déclaré à l’époque au sujet de l’adoption du pass sanitaire.
>> À lire aussi : Covid-19 : l’annonce d’un couvre-feu imminente ? Ce que l’on sait