Christine Bravo opérée et immobilisée : révélations concernant sa santé
Christine Bravo vit une période compliquée. Ce jeudi 7 novembre 2024, alors qu’elle était présente sur le plateau des Grosses têtes, elle a annoncé à Laurent Ruquier qu’elle allait se faire opérer du dos car elle souffre atrocement.
Malheureusement, cela n’est pas sans conséquence puisqu’elle va devoir être alitée pendant plusieurs semaines.
Christine Bravo se confie sur sa santé
Christine Bravo profite d’une retraite en Corse auprès de son mari, Stéphane Bachot, et partage les moments de sa nouvelle vie sur Instagram. Malheureusement, la chroniqueuse a été confrontée à des problèmes de santé qui l’ont contrainte à un long silence sur les réseaux sociaux.
En mai, elle révélait souffrir d’une discopathie douloureuse : « Beaucoup d’entre vous m’ont demandé pourquoi j’avais arrêté Instagram, parce que depuis six mois j’avais une discopathie, qu’on me traitait pour une hernie discale, et je restais couchée non-stop avec des antidouleurs ».
Elle a également dû porter un « corset sur mesure en ferraille. J’ai l’impression d’être un rosbif ficelé et j’en ai pour trois mois à porter ça, en espérant que ça aille mieux ».
Elle va devoir être allongée un mois
Mais malgré ces traitements, Christine Bravo a annoncé que son état nécessitait une opération. Invitée des Grosses têtes le 7 novembre, elle a partagé avec humour sa décision : « Ils vont visser les vertèbres comme on fait aux vioques », expliquant qu’elle devrait passer « un mois » allongée pour se rétablir.
Lorsque Arielle Dombasle lui a suggéré de faire de la gymnastique pour soulager son dos, Christine Bravo a répliqué, amusée, mais ferme : « Telle que tu me vois, tu me vois gaie, parce que je suis totalement défoncée. Je souffre terriblement et je conseille à tous les gens qui souffrent de L4 / L5, ces deux vertèbres, de se faire opérer au lieu de faire des infiltrations, de la gymnastique… et de souffrir ».
Laurent Ruquier, pour détendre l’atmosphère, lui a promis de lui apporter des douceurs à l’hôpital, tandis que Christine plaisantait en demandant : « Est-ce que je ne pourrais pas faire mon hospitalisation à domicile chez vous ? »