Charles III, roi maudit ? Troublantes révélations sur son règne
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Voilà un an que Charles III est monté sur le trône. Une consécration pour ce prince pas comme les autres qui, malgré les nombreuses injonctions dues à son statut, a su faire un mariage d’amour et couler des jours heureux aux côtés de son âme sœur, Camilla.
Du haut de ses 75 ans, tout portait à croire que le nouveau roi aurait droit à un règne presque parfait. Mais, un an plus tard, force est de constater que les choses ne se déroulent pas toujours comme on s’y attend.
À tel point que certains attribuent à Charles III l’étiquette de roi maudit. Retour sur une année de règne mouvementée et pleine d’obstacles.
Le jour où le prince Charles devient Charles III
Le décès de la reine Elizabeth II a accéléré son couronnement. Ainsi, alors que certains tablaient sur le prince William, c’est le prince Charles qui est monté sur le trône. Dorénavant Charles III, il a témoigné sa loyauté au peuple anglais à l’occasion de la cérémonie du 6 mai 2023.
Une cérémonie forte en émotions, alliant tradition et modernité. L’occasion pour le nouveau roi de s’éloigner quelque peu des vieilles coutumes et d’offrir la perspective d’un léger changement dans les pratiques de la couronne.
Les choses avaient pourtant bien commencé pour lui. Camilla toujours à ses côtés, il s’attendait à ce que les choses se goupillent sans trop de difficulté. Mais, c’était sans compter sur les querelles familiales et les coups du sort.
En effet, quelques mois après son couronnement, le roi subit une opération de la prostate. Une opération annoncée comme bénigne, après laquelle Buckingham apprendra tout de même une très mauvaise nouvelle. Charles III est atteint d’un cancer.
Annonce de cancer et retrait de la vie publique
Si on en ignore encore la réelle nature, Charles III se fait toutefois un devoir de libérer la parole autour de la maladie. Ainsi, peu de temps après la terrible annonce, il décide de s’exprimer. Une allocation qui vient confirmer la maladie, mais qui a surtout pour but de rassurer.
Les choses sont cous contrôle, le roi se retirera quelque temps afin de recevoir les traitements adéquats. Des annonces qui viennent contredire les déclarations alarmistes des médias, qui parlaient déjà de l’accélération de l’organisation des funérailles du roi.
Pour autant, pas question pour le monarque d’abandonner ses fonctions. S’il délègue davantage, il garde un œil sur les décisions importantes et s’entretient chaque semaine avec le premier ministre, Rishi Sunak. Le reste du temps, il fait des allers-retours entre Clarence House, à Londres, et sa résidence de Sandringham, à Norfolk. Une demeure éloignée du tumulte des grandes villes, ce qui lui permet de se ressourcer.
Comme une mauvaise nouvelle n’arrive jamais seule, le roi a fait face à une seconde annonce dramatique. Celle du cancer de sa belle-fille, Kate Middleton. Après une opération de chirurgie abdominale annoncée au mois de janvier, suivie d’un retrait de la vie publique et d’un long silence, la princesse de Galles a pris la parole.
Nouveau coup de massue : la maladie de Kate Middleton
Ainsi, c’est lors d’une allocution publiée le 22 mars dernier sur le site officiel du prince de Galles que Kate confie être atteinte d’un cancer. Une nouvelle qui, en plus de secouer sa famille et le peuple anglais, a soulevé l’inquiétude à l’échelle nationale.
Là encore, hors de question pour la femme de William de se laisser abattre : elle est bien décidée à venir à bout de la maladie. Mieux, elle tient à ce que l’atmosphère du château soit encore plus festive et légère en ces temps difficiles.
Elle peut compter sur le soutien de ses proches, mais aussi sur celui du roi, qui n’a pas manqué de la féliciter pour sa prise de parole. « Sa Majesté est très fière de Catherine pour le courage dont elle a fait preuve en parlant comme elle l’a fait », peut-on lire dans un communiqué officiel.
Bref, l’état de santé de la couronne britannique n’est pas au beau fixe. Mais ce n’est pas la seule chose qui fait défaut à Charles III et aux siens. À la maladie, s’ajoutent des querelles fraternelles qui ont des répercussions sur toute la famille.
En effet, le clan Windsor compte deux outsiders. Parmi eux, le prince Harry qui fait fi des règles et des coutumes en menant sa vie comme il l’entend. Le tout en ne manquant pas une occasion pour fustiger sa famille sur la place publique et dénigrer l’institution. Pour cause, ces derniers n’auraient pas réservé l’accueil attendu à sa très chère Meghan. Un comportement qu’il peine encore à digérer.
Les éléments perturbateurs du clan Windsor
Toutefois, les rapports semblent s’apaiser entre Harry et Charles III. Notamment depuis l’annonce du cancer du dernier, qui n’a pas manqué d’émouvoir son fils cadet, qui s’est d’ailleurs immédiatement déplacé à son chevet.
En revanche, l’embellie est encore loin entre William et Harry. En guerre depuis plusieurs années, les deux frères ne sont pas près de renouer. Même la maladie ne peut rien y faire : les fils de Charles III ne s’entendent plus, la rancœur ayant pris une place trop importante au sein de leur relation.
L’autre bête noire de la famille royale n’est autre que le prince Andrew. Frère cadet de Charles III, le duc de York a été cité dans la très médiatisée affaire Epstein. Un vrai coup dur pour la reine Elizabeth, qui, face au scandale, a dû prendre les mesures qui s’imposent.
Reclus à Royal Lodge, ce dernier a été privé de ses titres militaires et de ses parrainages royaux. Mais cela ne semble pas l’arrêter. En effet, il a donné il y a quelque temps une interview à la BBC dont la couronne se serait passée volontiers…
Contrairement à son coléreux neveu, Andew parait est sous contrôle. Surtout que le monarque s’assure que son cadet ne commette plus aucun impair.
Une chose est sûre, la première année de règne de Charles III n’a pas été de tout repos. Entre maladie et conflits familiaux, la tâche s’annonce plus ardue que prévu. Mais le roi compte bien prouver qu’il est à la hauteur et fera en sorte que les choses filent droit.
