Charles III malade : La nature de son cancer dévoilée
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Si Charles III a officiellement annoncé son cancer il y a huit mois, sa nature exacte reste encore floue.
Charles III atteint d’un cancer de la vessie ?
Un cancer de la vessie ? Alors que Buckingham reste obstinément évasif sur la nature de son cancer, les rumeurs concernant le monarque circulent dans le milieu médical. Notamment à Londres, où se trouve la résidence principale de Charles III. Ainsi, tandis que celui-ci s’apprête à entamer sa tournée royale, son état de santé est de nouveau au centre des préoccupations. De quel mal souffre-t-il ?
Expert de têtes couronnées, le journaliste Marc Roche a sa petite idée. « Sa Majesté souffrirait d’un cancer de la vessie non invasif. Or, les deux tiers des victimes de cette pathologie détectée et traitée à temps, dont beaucoup ont l’âge du monarque, vivront au moins cinq ans », explique-t-il au Point, ce 14 octobre.
Toutefois, ces allégations restent au stade rumeurs. Hors de question pour Buckingham de lever le doute sur la maladie exacte dont souffre Charles III. Une stratégie bien rodée, pensée pour préserver l’illusion d’immortalité qui entoure les souverains. « Il y a quelque chose d’assez illusoire, comme une sorte de déni de la réalité, dans cette idée que le monarque vivra éternellement, même si nous savons tous que ce n’est pas le cas », indique cette fois Tom Sykes journaliste au Daily Beast.
Pourquoi tant de mystère de la part de Buckingham ?
Face au mutisme et à la rétention d’informations de la Firme, comme la surnomment les experts, chacun y va de sa petite théorie. « Les gens tirent leurs propres conclusions de ces faits et la conclusion à laquelle cette information [la suspension du traitement du roi, ndlr.] pourrait amener, est que le roi va continuer de suivre un traitement à vie. Il existe un besoin étrange de déformer la réalité pour l’adapter à la situation afin d’entretenir une mythologie de la famille », assure-t-il encore.
Pour l’heure, le seul objectif du Palais est de prouver que le monarque n’est pas mourant. Une stratégie risquée, comme l’indique Gala, puisque au moindre couac, le peuple en déduira le contraire.
D’ailleurs, une récente décision a attiré l’attention des experts. La non-participation de Charles III à la COP 29. Une absence étonnante quand on connaît l’implication du monarque sur les questions d’environnement, mais qui en dit long sur santé. Ainsi, s’il peut se permettre un bref arrêt de traitement et une petite tournée, celui-ci ne doit pas tirer sur la corde.
